©Le Nigérian Victor Osimhen (à droite) félicité par ses coéquipiers après la victoire de son équipe, Naples, contre la Roma en Serie A, dimanche à Rome.
Naples, dernière équipe de Serie A invaincue après la défaite de l'Atalanta Bergame contre la Lazio Rome (2-0), a conforté sa place de leader en s'imposant sur le terrain de l'AS Rome (1-0) grâce à Victor Osimhen, dimanche lors de la 11e journée.
Ce Napoli en pleine confiance, vainqueur de ses onze derniers matches toutes compétitions confondues, compte trois points d'avance sur l'AC Milan, nouveau dauphin, et cinq sur la Lazio et l'Atalanta.
Naples fait craquer la Roma
Regroupée dans un pur style Mourinho, la Roma a longtemps résisté au Napoli grâce à quelques parades de son gardien Rui Patricio.
Mais globalement inoffensive (aucun tir cadré) dans un match fermé et tendu, la Louve a fini par craquer sur une balle en profondeur, Chris Smalling a été un peu court et Osimhen ne s'est pas fait prier pour tromper le portier giallorosso (80e), se faisant pardonner après avoir raté la cible seul face au but dix minutes plus tôt.
"La Roma nous a donné du mal, mais on a montré qu’on était une équipe difficile à battre", s'est réjoui le Nigérian.
L'ex-Lillois a couru célébrer sous la petite colonie de supporters napolitains, dans un Stadio olimpico réduit au silence après avoir longtemps copieusement sifflé Luciano Spalletti. Beaucoup de tifosi romanisti n'ont toujours pas pardonné à l'ex-entraîneur romain la façon dont il avait géré la fin de la carrière de la légende locale Francesco Totti.
"Je ressens un peu d'injustice, c'était un match équilibré, sous contrôle, mais la première équipe qui marquait gagnait", a commenté José Mourinho. Le Portugais a laissé plusieurs fois exploser sa colère, notamment en première mi-temps lorsque l'arbitre a accordé un penalty pour une faute de Rui Patricio sur Tanguy Ndombélé avant de revenir sur sa décision après intervention du VAR.
Solide Lazio
La Lazio Rome a infligé à l'Atalanta sa première défaite de la saison (2-0) en s'appuyant sur sa solidité actuelle (aucun but encaissé lors de ses six derniers matches).
Malgré l'absence de leur canonnier et capitaine Ciro Immobile, blessé, les joueurs de Maurizio Sarri ont maîtrisé les débats et concrétisé leur domination au début de chaque mi-temps grâce à Mattia Zaccagni (10e) et Felipe Anderson (52e).
"L'apport que garantit Immobile, c'est maintenant aux autres de l'amener. Mais attendons un peu pour dire qu'on ne ressent pas son absence", a commenté l'entraîneur romain Maurizio Sarri.
Gasperini a estimé que la défaite des siens n'était pas "illogique" en saluant la "première période extraordinaire" des Laziali.
L'Udinese freine
L'Udinese, équipe surprise du début de saison en Italie, marque un peu le pas, battue pour la première fois de la saison à domicile face au Torino (2-1), son second revers de la saison après celui de la 1re journée.
L'équipe du Frioul, sur le podium début octobre, rentre peu à peu dans le rang après n'avoir pris que deux points lors de ses trois dernières sorties (6e).
L'ex-attaquant de Monaco Pietro Pellegri a inscrit le but décisif des Grenats en seconde période (69e), ouvrant son compteur en championnat.
Ce Napoli en pleine confiance, vainqueur de ses onze derniers matches toutes compétitions confondues, compte trois points d'avance sur l'AC Milan, nouveau dauphin, et cinq sur la Lazio et l'Atalanta.
Naples fait craquer la Roma
Regroupée dans un pur style Mourinho, la Roma a longtemps résisté au Napoli grâce à quelques parades de son gardien Rui Patricio.
Mais globalement inoffensive (aucun tir cadré) dans un match fermé et tendu, la Louve a fini par craquer sur une balle en profondeur, Chris Smalling a été un peu court et Osimhen ne s'est pas fait prier pour tromper le portier giallorosso (80e), se faisant pardonner après avoir raté la cible seul face au but dix minutes plus tôt.
"La Roma nous a donné du mal, mais on a montré qu’on était une équipe difficile à battre", s'est réjoui le Nigérian.
L'ex-Lillois a couru célébrer sous la petite colonie de supporters napolitains, dans un Stadio olimpico réduit au silence après avoir longtemps copieusement sifflé Luciano Spalletti. Beaucoup de tifosi romanisti n'ont toujours pas pardonné à l'ex-entraîneur romain la façon dont il avait géré la fin de la carrière de la légende locale Francesco Totti.
"Je ressens un peu d'injustice, c'était un match équilibré, sous contrôle, mais la première équipe qui marquait gagnait", a commenté José Mourinho. Le Portugais a laissé plusieurs fois exploser sa colère, notamment en première mi-temps lorsque l'arbitre a accordé un penalty pour une faute de Rui Patricio sur Tanguy Ndombélé avant de revenir sur sa décision après intervention du VAR.
Solide Lazio
La Lazio Rome a infligé à l'Atalanta sa première défaite de la saison (2-0) en s'appuyant sur sa solidité actuelle (aucun but encaissé lors de ses six derniers matches).
Malgré l'absence de leur canonnier et capitaine Ciro Immobile, blessé, les joueurs de Maurizio Sarri ont maîtrisé les débats et concrétisé leur domination au début de chaque mi-temps grâce à Mattia Zaccagni (10e) et Felipe Anderson (52e).
"L'apport que garantit Immobile, c'est maintenant aux autres de l'amener. Mais attendons un peu pour dire qu'on ne ressent pas son absence", a commenté l'entraîneur romain Maurizio Sarri.
Gasperini a estimé que la défaite des siens n'était pas "illogique" en saluant la "première période extraordinaire" des Laziali.
L'Udinese freine
L'Udinese, équipe surprise du début de saison en Italie, marque un peu le pas, battue pour la première fois de la saison à domicile face au Torino (2-1), son second revers de la saison après celui de la 1re journée.
L'équipe du Frioul, sur le podium début octobre, rentre peu à peu dans le rang après n'avoir pris que deux points lors de ses trois dernières sorties (6e).
L'ex-attaquant de Monaco Pietro Pellegri a inscrit le but décisif des Grenats en seconde période (69e), ouvrant son compteur en championnat.
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