Au pied de la statue de l’Émigré, à l’entrée du port, une poignée de proches des victimes de la double explosion au port de Beyrouth, le 4 août 2020, se sont rassemblées pour dénoncer, encore une fois, le blocage de l’enquête. Ils ont ainsi déploré la volonté de l’ancien chef de l’État Michel Aoun de vouloir libérer des personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête et accusé le président de la Chambre Nabih Berry de protéger les députés de son bloc Ali Hassan Khalil et Ghazi Zeaïter, tous deux mis en cause dans l’affaire.
Les proches des victimes ont par ailleurs font part de leur soutien à la proposition de loi présentée par les députés dits du changement Paula Yacoubian et Melhem Khalaf, ainsi que le député des Forces libanaises, Georges Okais, pour faire avancer l’enquête. Le texte proposé permet d’éviter que les recours en dessaisissement empêchent le juge Tarek Bitar, chargé d’instruire dans le dossier de l’enquête, de poursuivre son travail.
Les proches des victimes ont par ailleurs font part de leur soutien à la proposition de loi présentée par les députés dits du changement Paula Yacoubian et Melhem Khalaf, ainsi que le député des Forces libanaises, Georges Okais, pour faire avancer l’enquête. Le texte proposé permet d’éviter que les recours en dessaisissement empêchent le juge Tarek Bitar, chargé d’instruire dans le dossier de l’enquête, de poursuivre son travail.
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