Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr. Tedros Ghebreyesus a sonné l'alarme mardi en avertissant qu'"Omicron se propage à une vitesse que nous n'avons jamais vue avec aucun autre variant."
Tandis que de nombreuses questions planent encore sur la nature de ce nouveau variant, le chef de l'OMS a affirmé que "Le danger qu’il représente pourrait être sous-estimé par la population." Il a ainsi incité à ce que tous les moyens anti-Covid-19 soient utilisés afin d'éviter une submergence des soins de santé, un risque encouru lors des rassemblements des fêtes de fin d'année.
Le chef de l'OMS a ajouté: "Soyons très clairs, les vaccins à eux seuls ne sortiront aucun pays de cette crise, ce ne sont pas les vaccins au lieu des masques, la distanciation, la ventilation ou l'hygiène."
Tout en soulignant l’inégalité entre différents pays par rapport à l’accès à la vaccination, il a rappelé qu'alors que l'émergence du variant Omicron a induit certains pays à déployer des programmes de rappel vaccinal, de nombreux autres pays n'ont toujours pas assuré un niveau satisfaisant de vaccination ou administré les premières doses de vaccins.
Son discours intervient en parallèle à celui de la présidente de la commission Européenne, Ursula Von der Leyen qui a déclaré mercredi qu’Omicron devrait être le variant dominant dans l’Union Européenne d’ici mi-janvier, tout en affirmant que l'UE était en possession de "moyens" pour vaincre la maladie, avec plus de 66% de la population de l'UE désormais entièrement vaccinée.
Alors que le Liban signale un nouveau record de contaminations au coronavirus, le ministre de la santé Firas Abiad avait indiqué mardi que le nombre de cas d’Omicron suspectés au Liban est de 16 actuellement. Selon les derniers chiffres du ministère de la santé à ce jour 40,7% des personnes éligibles à la vaccination (âgées de 12 ans et plus) ont déjà reçu une première dose du vaccin anti-Covid-19, 34,5% les deux doses et 12% la dose de rappel.
Tandis que de nombreuses questions planent encore sur la nature de ce nouveau variant, le chef de l'OMS a affirmé que "Le danger qu’il représente pourrait être sous-estimé par la population." Il a ainsi incité à ce que tous les moyens anti-Covid-19 soient utilisés afin d'éviter une submergence des soins de santé, un risque encouru lors des rassemblements des fêtes de fin d'année.
Le chef de l'OMS a ajouté: "Soyons très clairs, les vaccins à eux seuls ne sortiront aucun pays de cette crise, ce ne sont pas les vaccins au lieu des masques, la distanciation, la ventilation ou l'hygiène."
Tout en soulignant l’inégalité entre différents pays par rapport à l’accès à la vaccination, il a rappelé qu'alors que l'émergence du variant Omicron a induit certains pays à déployer des programmes de rappel vaccinal, de nombreux autres pays n'ont toujours pas assuré un niveau satisfaisant de vaccination ou administré les premières doses de vaccins.
Son discours intervient en parallèle à celui de la présidente de la commission Européenne, Ursula Von der Leyen qui a déclaré mercredi qu’Omicron devrait être le variant dominant dans l’Union Européenne d’ici mi-janvier, tout en affirmant que l'UE était en possession de "moyens" pour vaincre la maladie, avec plus de 66% de la population de l'UE désormais entièrement vaccinée.
Alors que le Liban signale un nouveau record de contaminations au coronavirus, le ministre de la santé Firas Abiad avait indiqué mardi que le nombre de cas d’Omicron suspectés au Liban est de 16 actuellement. Selon les derniers chiffres du ministère de la santé à ce jour 40,7% des personnes éligibles à la vaccination (âgées de 12 ans et plus) ont déjà reçu une première dose du vaccin anti-Covid-19, 34,5% les deux doses et 12% la dose de rappel.
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