Le député George Okaïs, membre du groupe parlementaire des Forces libanaises, a dénoncé dimanche "la position de certains partis politiques qui s’opposent à la réunion du Conseil des ministres tout en bloquant l’élection présidentielle".
"Les politiques qui contestent la tenue d’une réunion du gouvernement sont les mêmes qui votent blanc lors des séances parlementaires consacrées à l’élection du prochain président de la République; et permettent ainsi la prolongation de la crise", a-t-il accusé, en faisant allusion au Courant patriotique libre.
Le député de Zahlé a par ailleurs déploré les agissements du Premier ministre sortant Najib Mikati, critiquant sa décision de convoquer les ministres à une réunion gouvernementale axée sur 65 points, alors que le cabinet actuel est uniquement chargé d’expédier les affaires courantes. "Les Forces libanaises restent fermement d'avis que tout point urgent qui figure à l'ordre du jour du Conseil des ministres doit être décidé au préalable par le biais d’un décret itinérant, et non pas lors de la réunion d'un cabinet démissionnaire. Celui-ci ne peut en principe se réunir que sous un contrôle strict et dans des cas exceptionnels, comme le stipule la Constitution", a-t-il souligné.
"Les politiques qui contestent la tenue d’une réunion du gouvernement sont les mêmes qui votent blanc lors des séances parlementaires consacrées à l’élection du prochain président de la République; et permettent ainsi la prolongation de la crise", a-t-il accusé, en faisant allusion au Courant patriotique libre.
Le député de Zahlé a par ailleurs déploré les agissements du Premier ministre sortant Najib Mikati, critiquant sa décision de convoquer les ministres à une réunion gouvernementale axée sur 65 points, alors que le cabinet actuel est uniquement chargé d’expédier les affaires courantes. "Les Forces libanaises restent fermement d'avis que tout point urgent qui figure à l'ordre du jour du Conseil des ministres doit être décidé au préalable par le biais d’un décret itinérant, et non pas lors de la réunion d'un cabinet démissionnaire. Celui-ci ne peut en principe se réunir que sous un contrôle strict et dans des cas exceptionnels, comme le stipule la Constitution", a-t-il souligné.
Lire aussi
Commentaires