Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a dénoncé lundi «la classe politique qui n’a pas tenu ses promesses aux Libanais», et qui crée «une crise communautaire en boycottant la réunion du Conseil des ministres qu'elle considère anticonstitutionnelle».
«La véritable crise se situait au niveau de la vacance présidentielle qui se poursuit depuis plus d’un mois. Ce sont les forces chrétiennes, plus précisément le Courant patriotique libre, qui s'opposent à la réunion du gouvernement, les mêmes factions qui s’emploient à provoquer un défaut de quorum lors des séances consacrées à l’élection présidentielle», peut-on lire dans le communiqué publié à l’issue de la réunion hebdomadaire du Rassemblement.
«L'obstruction de l’élection présidentielle est intentionnelle et sciemment suscitée par le Hezbollah et ses alliés», a-t-il souligné. «Le but de cette obstruction est clair: ne pas avoir de président de la République – même si cela doit durer des décennies – à moins qu’il se soumette, comme ceux qui l'ont précédé, à l'agenda iranien au Liban et dans la région». Et au Rassemblement de poursuivre: «Ce cas de figure signifierait une subordination de la politique étrangère et militaire du Liban à l'Iran et la propagation des armes du Hezbollah aux niveaux du pays, de la région et à travers le monde».
«La véritable crise se situait au niveau de la vacance présidentielle qui se poursuit depuis plus d’un mois. Ce sont les forces chrétiennes, plus précisément le Courant patriotique libre, qui s'opposent à la réunion du gouvernement, les mêmes factions qui s’emploient à provoquer un défaut de quorum lors des séances consacrées à l’élection présidentielle», peut-on lire dans le communiqué publié à l’issue de la réunion hebdomadaire du Rassemblement.
«L'obstruction de l’élection présidentielle est intentionnelle et sciemment suscitée par le Hezbollah et ses alliés», a-t-il souligné. «Le but de cette obstruction est clair: ne pas avoir de président de la République – même si cela doit durer des décennies – à moins qu’il se soumette, comme ceux qui l'ont précédé, à l'agenda iranien au Liban et dans la région». Et au Rassemblement de poursuivre: «Ce cas de figure signifierait une subordination de la politique étrangère et militaire du Liban à l'Iran et la propagation des armes du Hezbollah aux niveaux du pays, de la région et à travers le monde».
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