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Le Liban compte près de 1.235 carrières qui couvrent, depuis 2007, près de 15,15 millions de mètres carrés. C’est ce qui ressort d’une étude menée par le ministère de l’Environnement et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) sur les sommes dues par les propriétaires des carrières au Trésor et dont les résultats ont été présentés mercredi.
D’après ce travail, près de 196,87 millions de mètres cubes sont extraits des carrières, alors que les sommes dues au Trésor, qui correspondent aux indemnisations directes, sont évaluées à, au moins, 2,394 milliards de dollars, puisque «les indemnisations pour les souffrances et les douleurs et les dommages-intérêts punitifs n’ont pas été pris en considération», a expliqué le ministre sortant de l’Environnement, Nasser Yassine, précisant que ce sont les personnes lésées qui doivent mener une action en justice.
M. Yassine a souligné que les indemnisations directes ont été calculées sur base du coût de la dégradation environnementale, du coût de la réhabilitation et des coûts réglementaires et fiscaux. Dans une conférence de presse, il a annoncé qu’il soumettra l’étude à une commission ministérielle, précisant que le document sera étudié dans le cadre du prochain projet pour calculer les sommes dues à l’État. Il sera également présentée «au service des contentieux pour préparer des dossiers judiciaires», a poursuivi M. Yassine, insistant sur la nécessité de réglementer le secteur.
D’après ce travail, près de 196,87 millions de mètres cubes sont extraits des carrières, alors que les sommes dues au Trésor, qui correspondent aux indemnisations directes, sont évaluées à, au moins, 2,394 milliards de dollars, puisque «les indemnisations pour les souffrances et les douleurs et les dommages-intérêts punitifs n’ont pas été pris en considération», a expliqué le ministre sortant de l’Environnement, Nasser Yassine, précisant que ce sont les personnes lésées qui doivent mener une action en justice.
M. Yassine a souligné que les indemnisations directes ont été calculées sur base du coût de la dégradation environnementale, du coût de la réhabilitation et des coûts réglementaires et fiscaux. Dans une conférence de presse, il a annoncé qu’il soumettra l’étude à une commission ministérielle, précisant que le document sera étudié dans le cadre du prochain projet pour calculer les sommes dues à l’État. Il sera également présentée «au service des contentieux pour préparer des dossiers judiciaires», a poursuivi M. Yassine, insistant sur la nécessité de réglementer le secteur.
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