Le président-directeur général de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, a confirmé que les équipes en charge des opérations de forage sur le bloc 9 en Méditerranée sont désormais mobilisées.
Au cours d'une rencontre qui s'est tenue lundi avec le ministre de l'Énergie et de l'Eau au Liban, M. Walid Fayad, au siège de la compagnie à Paris, M. Pouyanné a déclaré qu' «à ce jour, outre le directeur des opérations, plus de dix personnes sont impliquées dans la préparation du puits».
Il a expliqué que «d’ici à fin mars, l’équipe mobilisée à Beyrouth comptera plus de vingt collaborateurs» et que «l’appel d’offres pour sécuriser l’appareil de forage a été lancé et devrait conduire à une sélection de l’appareil au premier trimestre 2023». Il a également annoncé que «des précommandes ont également été passées auprès de fournisseurs pour les équipements nécessaires au forage du puits et que «des moyens offshore sont mobilisés pour contribuer aux études environnementales qui seront finalisées d’ici à fin juin 2023».
Parallèlement, Amos Hochstein, le médiateur américain qui avait aidé le Liban et Israël à signer un accord sur la démarcation de la frontière maritime a affirmé, dans une interview accordée au Nahar, que le retard dans l'approvisionnement en gaz et en électricité en provenance d'Égypte et de Jordanie est dû à «l'incapacité du gouvernement libanais à mener à bien les réformes exigées par le Fonds monétaire international, qui est censé financer le projet». Il a en outre estimé que les travaux de production de gaz à partir du bloc 9 devraient prendre trois ou quatre ans, considérant que l'accord de démarcation des frontières maritimes entre le Liban et Israël est désormais un fait accompli. M. Hochstein a en outre souligné que la délimitation des frontières terrestres entre les deux pays est possible, mais «pas pour le moment», en raison des circonstances difficiles que traversent tant le Liban que l'État hébreu, selon ses explications.
Au cours d'une rencontre qui s'est tenue lundi avec le ministre de l'Énergie et de l'Eau au Liban, M. Walid Fayad, au siège de la compagnie à Paris, M. Pouyanné a déclaré qu' «à ce jour, outre le directeur des opérations, plus de dix personnes sont impliquées dans la préparation du puits».
Il a expliqué que «d’ici à fin mars, l’équipe mobilisée à Beyrouth comptera plus de vingt collaborateurs» et que «l’appel d’offres pour sécuriser l’appareil de forage a été lancé et devrait conduire à une sélection de l’appareil au premier trimestre 2023». Il a également annoncé que «des précommandes ont également été passées auprès de fournisseurs pour les équipements nécessaires au forage du puits et que «des moyens offshore sont mobilisés pour contribuer aux études environnementales qui seront finalisées d’ici à fin juin 2023».
Parallèlement, Amos Hochstein, le médiateur américain qui avait aidé le Liban et Israël à signer un accord sur la démarcation de la frontière maritime a affirmé, dans une interview accordée au Nahar, que le retard dans l'approvisionnement en gaz et en électricité en provenance d'Égypte et de Jordanie est dû à «l'incapacité du gouvernement libanais à mener à bien les réformes exigées par le Fonds monétaire international, qui est censé financer le projet». Il a en outre estimé que les travaux de production de gaz à partir du bloc 9 devraient prendre trois ou quatre ans, considérant que l'accord de démarcation des frontières maritimes entre le Liban et Israël est désormais un fait accompli. M. Hochstein a en outre souligné que la délimitation des frontières terrestres entre les deux pays est possible, mais «pas pour le moment», en raison des circonstances difficiles que traversent tant le Liban que l'État hébreu, selon ses explications.
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