©L'attaquant argentin Lautaro Martinez inscrit le tir au but de la victoire lors du quart de finale du Mondial contre les Pays-Bas, le 9 décembre 2022 au stade Lusail à Doha, où se déroulera la finale du Mondial. Odd Andersen/AFP
Au bout d'un tournoi riche en surprises, la Coupe du monde s'achemine vers son dénouement dimanche au Qatar, où le "rêve absolu" d'atteindre la finale au stade de Lusail accapare les quatre demi-finalistes avant Argentine-Croatie mardi et France-Maroc mercredi.
Mardi
21h00: Argentine – Croatie
L'Argentine aimerait tant consacrer Lionel Messi comme le digne héritier de Diego Maradona; et la Croatie, finaliste 2018, est un petit pays mais une grande nation de football...
"Être le coach de la Croatie était un de mes rêves, mais je ne pouvais pas rêver de ce qui se passe actuellement", a savouré lundi le sélectionneur croate Zlatko Dalic. Sacré Ballon d'Or en 2018 après avoir atteint la finale du Mondial russe, Luka Modric a néanmoins son mot à dire mardi au stade de Lusail, où les Croates espèrent revenir dimanche pour soulever enfin le mythique trophée de la Coupe du monde.
"(Messi) ne me surprend pas, il a toujours été comme ça. Ça a toujours été un gagnant et un orgueilleux", a fait valoir de son côté son sélectionneur Lionel Scaloni. "Quant à Modric, c'est un plaisir de le voir jouer. Quand on aime le football, on est heureux de voir ces joueurs sur le terrain."
Mercredi
21h00: France – Maroc
Dans l'autre demi-finale, la France s'avance en "grande favorite" selon l'ancien attaquant brésilien Ronaldo.
Les Bleus ont pour eux leurs stars et leur vécu, qui doit leur éviter de verser dans l'excès de confiance.
"On a assez d'expérience dans l'équipe pour ne pas tomber dans ce piège-là. On sait que le Maroc n'est pas là par hasard", a noté le défenseur Raphaël Varane.
Meilleure défense de la compétition (1 but encaissé), l'équipe marocaine fera tout pour aller au bout de son épopée, dans une confrontation riche de symboles entre deux pays aux liens culturels et historiques très forts, et sous les yeux du président français Emmanuel Macron.
"On vit un rêve et on n'a pas envie de se réveiller", a résumé l'ailier international marocain Sofiane Boufal, né à Paris.
Un "rêve" sur toutes les lèvres... mais aussi dans les pieds des joueurs, puisque la Fifa a annoncé dimanche que le dernier carré du tournoi se jouerait avec un nouveau ballon, baptisé Al Hilm ("Le rêve", en arabe), avec des facettes décorées de nuances bordeaux rappelant le drapeau qatari.
Mardi
21h00: Argentine – Croatie
L'Argentine aimerait tant consacrer Lionel Messi comme le digne héritier de Diego Maradona; et la Croatie, finaliste 2018, est un petit pays mais une grande nation de football...
"Être le coach de la Croatie était un de mes rêves, mais je ne pouvais pas rêver de ce qui se passe actuellement", a savouré lundi le sélectionneur croate Zlatko Dalic. Sacré Ballon d'Or en 2018 après avoir atteint la finale du Mondial russe, Luka Modric a néanmoins son mot à dire mardi au stade de Lusail, où les Croates espèrent revenir dimanche pour soulever enfin le mythique trophée de la Coupe du monde.
"(Messi) ne me surprend pas, il a toujours été comme ça. Ça a toujours été un gagnant et un orgueilleux", a fait valoir de son côté son sélectionneur Lionel Scaloni. "Quant à Modric, c'est un plaisir de le voir jouer. Quand on aime le football, on est heureux de voir ces joueurs sur le terrain."
Mercredi
21h00: France – Maroc
Dans l'autre demi-finale, la France s'avance en "grande favorite" selon l'ancien attaquant brésilien Ronaldo.
Les Bleus ont pour eux leurs stars et leur vécu, qui doit leur éviter de verser dans l'excès de confiance.
"On a assez d'expérience dans l'équipe pour ne pas tomber dans ce piège-là. On sait que le Maroc n'est pas là par hasard", a noté le défenseur Raphaël Varane.
Meilleure défense de la compétition (1 but encaissé), l'équipe marocaine fera tout pour aller au bout de son épopée, dans une confrontation riche de symboles entre deux pays aux liens culturels et historiques très forts, et sous les yeux du président français Emmanuel Macron.
"On vit un rêve et on n'a pas envie de se réveiller", a résumé l'ailier international marocain Sofiane Boufal, né à Paris.
Un "rêve" sur toutes les lèvres... mais aussi dans les pieds des joueurs, puisque la Fifa a annoncé dimanche que le dernier carré du tournoi se jouerait avec un nouveau ballon, baptisé Al Hilm ("Le rêve", en arabe), avec des facettes décorées de nuances bordeaux rappelant le drapeau qatari.
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