Le verdict final a été prononcé dans l’affaire de l'assassinat de Rebecca Dykes. « La cour de cassation a rejeté la demande d’appel présentée par Tarek Samir Hawicha, coupable du viol et du meurtre de la diplomate anglaise en 2017 », selon un communiqué publié vendredi par l’ambassade britannique à Beyrouth, où il est précisé que « la condamnation à mort a été confirmée ».
« Nous espérons que ce jugement aura clôturé une page pénible pour la famille de la jeune femme, ainsi que pour son entourage et tous ceux qui l’ont côtoyée », toujours selon le communiqué. « L’ambassade de Grande-Bretagne à Beyrouth, le ministère britannique des Affaires étrangères, la famille de Rebecca et ses amis se sont engagés à lui rendre hommage, dans une lutte contre la violence faite aux femmes », a déclaré l’ambassade dans son texte.
La famille de la diplomate a par ailleurs affirmé que « justice a été rendue cinq ans après le meurtre, un délai raisonnable pour l’aboutissement de toute procédure judiciaire ». Elle a estimé que le verdict rendu par la Cour de cassation du tribunal correctionnel du Mont-Liban est l’occasion « de se remémorer la jeune femme qui a consacré sa vie aux victimes de la guerre et aux miséreux ». Celle-ci était heureuse de s’engager dans des missions humanitaires au Liban et avait l’intention d’y prolonger son séjour, comme l’indique le communiqué rendu public vendredi par ses proches. C’est la raison pour laquelle une association portant son nom a été créée.
Pour rappel, c’est dans la nuit du 15 au 16 décembre 2017 que Rebecca Dykes qui travaillait pour le Département de développement international de Grande-Bretagne (DFID) auprès de l’ambassade du Royaume-Uni depuis janvier 2017, a été violée puis assassinée par un chauffeur de taxi affilié au service Uber, Tarek Samir Hawicha. Son corps avait été retrouvé inerte dans la soirée du 16 décembre dans un terrain vague en contrebas de l'autoroute du Metn.
« Nous espérons que ce jugement aura clôturé une page pénible pour la famille de la jeune femme, ainsi que pour son entourage et tous ceux qui l’ont côtoyée », toujours selon le communiqué. « L’ambassade de Grande-Bretagne à Beyrouth, le ministère britannique des Affaires étrangères, la famille de Rebecca et ses amis se sont engagés à lui rendre hommage, dans une lutte contre la violence faite aux femmes », a déclaré l’ambassade dans son texte.
La famille de la diplomate a par ailleurs affirmé que « justice a été rendue cinq ans après le meurtre, un délai raisonnable pour l’aboutissement de toute procédure judiciaire ». Elle a estimé que le verdict rendu par la Cour de cassation du tribunal correctionnel du Mont-Liban est l’occasion « de se remémorer la jeune femme qui a consacré sa vie aux victimes de la guerre et aux miséreux ». Celle-ci était heureuse de s’engager dans des missions humanitaires au Liban et avait l’intention d’y prolonger son séjour, comme l’indique le communiqué rendu public vendredi par ses proches. C’est la raison pour laquelle une association portant son nom a été créée.
Pour rappel, c’est dans la nuit du 15 au 16 décembre 2017 que Rebecca Dykes qui travaillait pour le Département de développement international de Grande-Bretagne (DFID) auprès de l’ambassade du Royaume-Uni depuis janvier 2017, a été violée puis assassinée par un chauffeur de taxi affilié au service Uber, Tarek Samir Hawicha. Son corps avait été retrouvé inerte dans la soirée du 16 décembre dans un terrain vague en contrebas de l'autoroute du Metn.
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