S’agissant de la présidentielle, le Premier ministre sortant Najib Mikati a confirmé lundi, devant une délégation du syndicat des rédacteurs au Grand sérail, l’existence de « données extérieures indiquant qu’une solution à la crise se prépare, mais cela nécessitera du temps ».
Le Premier ministre sortant Najib Mikati a assuré lundi que « l’armée mène l’enquête nécessaire » pour élucider les circonstances de la mort par balle du Casque bleu de la Finul dans un village du Liban-Sud. « Nous avons l’espoir que l’enquête mènera à un résultat bientôt », a-t-il précisé. « Il ne faut ni faire de la surenchère sur ce qui s’est passé, ni en sous-estimer le danger en le considérant comme un incident passager », a-t-il précisé. Il a néanmoins écarté la possibilité d’un guet-apens, « l’indicent ayant eu lieu hors du terrain d’opération habituel de la Finul ».
Recevant une délégation du syndicat des rédacteurs au Grand sérail, Najib Mikati s’est longuement exprimé sur la marche de l’Exécutif en l’absence d’un président. Il a assuré que « le gouvernement actuel est engagé à remplir les fonctions qui lui sont imparties en vertu de la Constitution en cas de vacance présidentielle, et jusqu’à l’élection d’un nouveau président », sachant que « la priorité est à l’élection d’un nouveau président, puis la formation d’un nouveau cabinet ».
A une question sur la possibilité de tenir un nouveau Conseil des ministres, malgré la polémique provoquée par la première réunion il y a deux semaines, le Premier ministre sortant a précisé qu’il ne le fera « qu’en cas d’urgence et de besoin (…) en vertu des prérogatives constitutionnelles qui me sont accordées ». « Mais pour l’instant, il n’y a rien d’urgent qui exige la tenue d’un nouveau Conseil des ministres », a-t-il ajouté. Il a clarifié en outre certains points juridiques relatifs à la polémique sur la réunion d’un gouvernement démissionnaire en l’absence d’un président : il a rejeté la proposition, réitérée par le camp du Courant patriotique libre, de recourir à des « décrets itinérants » pour éviter de réunir le cabinet. « Cette proposition est sans fondement constitutionnel », a-t-il dit. Il a précisé en outre que c’est au Premier ministre que revient la compétence d’élaborer l’ordre du jour en l’absence d’un président, et que si une nouvelle réunion du gouvernement doit se tenir, « les décisions seront prises à la majorité des présents pour les questions ordinaires, et la majorité des membres du gouvernement, pour les décisions exceptionnelles ».
S’agissant de la présidentielle, Najib Mikati a confirmé l’existence de « données extérieures indiquant qu’une solution à la crise se prépare, mais cela nécessitera du temps ». Il a qualifié en outre d’ « excellents » ses échanges avec le prince héritier saoudien en marge du sommet sino-arabe à Riyad. « Il a exprimé son affection pour le Liban et surtout pour les Libanais résidents en Arabie », s’est-il contenté de dire.
Sur les dossiers sécuritaires, il a assuré, sur base d’une enquête menée auprès des intéressés, que ce que se dit dans la presse israélienne sur un trafic d’armes via l’aéroport de Beyrouth est sans preuve.
Sur l’affaire des terrains spoliés de Rmeich (village chrétien frontalier du Liban-Sud), il a dit avoir demandé un rapport complet à l’armée.
Le Premier ministre sortant Najib Mikati a assuré lundi que « l’armée mène l’enquête nécessaire » pour élucider les circonstances de la mort par balle du Casque bleu de la Finul dans un village du Liban-Sud. « Nous avons l’espoir que l’enquête mènera à un résultat bientôt », a-t-il précisé. « Il ne faut ni faire de la surenchère sur ce qui s’est passé, ni en sous-estimer le danger en le considérant comme un incident passager », a-t-il précisé. Il a néanmoins écarté la possibilité d’un guet-apens, « l’indicent ayant eu lieu hors du terrain d’opération habituel de la Finul ».
Recevant une délégation du syndicat des rédacteurs au Grand sérail, Najib Mikati s’est longuement exprimé sur la marche de l’Exécutif en l’absence d’un président. Il a assuré que « le gouvernement actuel est engagé à remplir les fonctions qui lui sont imparties en vertu de la Constitution en cas de vacance présidentielle, et jusqu’à l’élection d’un nouveau président », sachant que « la priorité est à l’élection d’un nouveau président, puis la formation d’un nouveau cabinet ».
A une question sur la possibilité de tenir un nouveau Conseil des ministres, malgré la polémique provoquée par la première réunion il y a deux semaines, le Premier ministre sortant a précisé qu’il ne le fera « qu’en cas d’urgence et de besoin (…) en vertu des prérogatives constitutionnelles qui me sont accordées ». « Mais pour l’instant, il n’y a rien d’urgent qui exige la tenue d’un nouveau Conseil des ministres », a-t-il ajouté. Il a clarifié en outre certains points juridiques relatifs à la polémique sur la réunion d’un gouvernement démissionnaire en l’absence d’un président : il a rejeté la proposition, réitérée par le camp du Courant patriotique libre, de recourir à des « décrets itinérants » pour éviter de réunir le cabinet. « Cette proposition est sans fondement constitutionnel », a-t-il dit. Il a précisé en outre que c’est au Premier ministre que revient la compétence d’élaborer l’ordre du jour en l’absence d’un président, et que si une nouvelle réunion du gouvernement doit se tenir, « les décisions seront prises à la majorité des présents pour les questions ordinaires, et la majorité des membres du gouvernement, pour les décisions exceptionnelles ».
S’agissant de la présidentielle, Najib Mikati a confirmé l’existence de « données extérieures indiquant qu’une solution à la crise se prépare, mais cela nécessitera du temps ». Il a qualifié en outre d’ « excellents » ses échanges avec le prince héritier saoudien en marge du sommet sino-arabe à Riyad. « Il a exprimé son affection pour le Liban et surtout pour les Libanais résidents en Arabie », s’est-il contenté de dire.
Sur les dossiers sécuritaires, il a assuré, sur base d’une enquête menée auprès des intéressés, que ce que se dit dans la presse israélienne sur un trafic d’armes via l’aéroport de Beyrouth est sans preuve.
Sur l’affaire des terrains spoliés de Rmeich (village chrétien frontalier du Liban-Sud), il a dit avoir demandé un rapport complet à l’armée.
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