Dans une interview exclusive à Ici Beyrouth, la coordinatrice spéciale de l’ONU pour le Liban, Joanna Wronecka a réaffirmé le droit de la Finul à se déplacer partout au sud du Litani, conformément à la résolution 1701 du Conseil de sécurité.
Invitée dans les studios d’Ici Beyrouth, la coordinatrice spéciale de l’ONU a également appelé à une enquête rapide et transparente dans l’affaire d’al-Aqabiyé. Dans la nuit du 14 au 15 décembre dernier, un convoi irlandais de la Finul a été attaqué par des hommes armés. Un Casque bleu, Sean Rooney, a été tué et trois autres blessés durant l’assaut à l’arme légère. Elle a par ailleurs expliqué que l’un des efforts demandés au Liban, dans le cadre de la mise en application de la résolution 1701, porte sur la question des armes illégales. En d’autres termes, une meilleure gestion de ce dossier est requise des autorités.
Concernant le blocage aux niveaux de la présidentielle et de la formation d’un gouvernement, Joanna Wronecka a jugé indispensable que la classe politique mette le pays et non pas les « agendas personnels » en tête de ses priorités.
Pour ce qui est de l’aide onusienne dans les domaines humanitaire et du développement, elle a affirmé que les agences de l’ONU ont pu mobiliser près de 380 millions de dollars pour les Libanais dans le besoin, tout en soulignant « ne pas avoir de formule magique ». Et de poursuivre : « On s’adapte à la situation en fonction de l’avancement de la crise. Il faut que nous soyons très créatifs pour aider plus et être plus efficaces ».
Douze ans après le début de la guerre en Syrie, la coordinatrice spéciale de l’ONU a assuré que « la communauté internationale ne va jamais s’opposer aux retours des réfugiés, si ces derniers veulent rentrer chez eux dignement et si leurs droits sont respectés ». « Le Liban a fait beaucoup pour ses voisins syriens. Je vois de plus en plus des tensions autour de ce sujet, et c’est pour cette raison que j’ai encouragé la visite à Beyrouth du Haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés, M. Filippo Grandi, il y a deux semaines. Je pense que cette visite a pu éclairer certains points ».
Invitée dans les studios d’Ici Beyrouth, la coordinatrice spéciale de l’ONU a également appelé à une enquête rapide et transparente dans l’affaire d’al-Aqabiyé. Dans la nuit du 14 au 15 décembre dernier, un convoi irlandais de la Finul a été attaqué par des hommes armés. Un Casque bleu, Sean Rooney, a été tué et trois autres blessés durant l’assaut à l’arme légère. Elle a par ailleurs expliqué que l’un des efforts demandés au Liban, dans le cadre de la mise en application de la résolution 1701, porte sur la question des armes illégales. En d’autres termes, une meilleure gestion de ce dossier est requise des autorités.
Concernant le blocage aux niveaux de la présidentielle et de la formation d’un gouvernement, Joanna Wronecka a jugé indispensable que la classe politique mette le pays et non pas les « agendas personnels » en tête de ses priorités.
Pour ce qui est de l’aide onusienne dans les domaines humanitaire et du développement, elle a affirmé que les agences de l’ONU ont pu mobiliser près de 380 millions de dollars pour les Libanais dans le besoin, tout en soulignant « ne pas avoir de formule magique ». Et de poursuivre : « On s’adapte à la situation en fonction de l’avancement de la crise. Il faut que nous soyons très créatifs pour aider plus et être plus efficaces ».
Douze ans après le début de la guerre en Syrie, la coordinatrice spéciale de l’ONU a assuré que « la communauté internationale ne va jamais s’opposer aux retours des réfugiés, si ces derniers veulent rentrer chez eux dignement et si leurs droits sont respectés ». « Le Liban a fait beaucoup pour ses voisins syriens. Je vois de plus en plus des tensions autour de ce sujet, et c’est pour cette raison que j’ai encouragé la visite à Beyrouth du Haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés, M. Filippo Grandi, il y a deux semaines. Je pense que cette visite a pu éclairer certains points ».
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