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La grève des contrôleurs perturbe ce week-end de Noël dans les gares mais les Français pourront rentrer de vacances normalement après le Nouvel An, grâce à un accord validé vendredi entre la SNCF et ses syndicats.
À la gare Montparnasse, les voyageurs se pressaient sur les quais en fin d'après-midi, vendredi, pour prendre leur train en direction de l'Ouest.
Une soirée de négociations jeudi entre les quatre syndicats et la direction de la SNCF a permis de trouver une issue au conflit qui se prolongeait depuis fin octobre.
Le collectif de contrôleurs à l'origine de la grève (CNA), ainsi que les deux syndicats SUD-Rail et CFDT, ont souligné dans un communiqué commun que "le conflit aurait pu être évité si les négociations avaient été plus importantes comme cela a été le cas hier soir" et se réjouissent "des avancées significatives" obtenues.
Rien qui ne change la situation pour les 200 000 voyageurs, sur 800 000, qui ont vu leur train supprimé entre vendredi et dimanche. Un tiers des trains a été annulé vendredi et 40% samedi et dimanche, presque uniquement des TGV. Les trains se préparent plusieurs jours en avance et ne peuvent pas être reprogrammés du jour au lendemain, d'autant que les grévistes de Noël sont bien couverts par un préavis.
Dans les gares de France, les clients de la compagnie ferroviaire oscillaient entre fatalisme et agacement, mais dans le calme, les voyageurs "annulés" ayant été prévenus plusieurs jours en avance. À la gare de Lyon ou à Montparnasse à Paris, les contrôleurs laissaient parfois monter des passagers pour remplir les dernières places vides, même sans le bon billet.
AFP
À la gare Montparnasse, les voyageurs se pressaient sur les quais en fin d'après-midi, vendredi, pour prendre leur train en direction de l'Ouest.
Une soirée de négociations jeudi entre les quatre syndicats et la direction de la SNCF a permis de trouver une issue au conflit qui se prolongeait depuis fin octobre.
Le collectif de contrôleurs à l'origine de la grève (CNA), ainsi que les deux syndicats SUD-Rail et CFDT, ont souligné dans un communiqué commun que "le conflit aurait pu être évité si les négociations avaient été plus importantes comme cela a été le cas hier soir" et se réjouissent "des avancées significatives" obtenues.
Rien qui ne change la situation pour les 200 000 voyageurs, sur 800 000, qui ont vu leur train supprimé entre vendredi et dimanche. Un tiers des trains a été annulé vendredi et 40% samedi et dimanche, presque uniquement des TGV. Les trains se préparent plusieurs jours en avance et ne peuvent pas être reprogrammés du jour au lendemain, d'autant que les grévistes de Noël sont bien couverts par un préavis.
Dans les gares de France, les clients de la compagnie ferroviaire oscillaient entre fatalisme et agacement, mais dans le calme, les voyageurs "annulés" ayant été prévenus plusieurs jours en avance. À la gare de Lyon ou à Montparnasse à Paris, les contrôleurs laissaient parfois monter des passagers pour remplir les dernières places vides, même sans le bon billet.
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