Le député Marwan Hamadé a affirmé mardi que "les circonstances internes et externes ne sont pas assez "mûres" pour la tenue de l’élection présidentielle".
Dans une interview accordée au quotidien libanais al-Sharq al-Awsat, M. Hamadé a souligné que "les réunions inhabituelles qui prennent place ces derniers jours n’aboutiront à rien, puisque chaque parti cherche ses propres intérêts". "Ces mouvements n'ont aucun sens. L’initiative que le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, promeut n'est qu'un souhait qui s’inscrit dans le cadre du mandat de l’ancien chef de l’État, Michel Aoun, afin de garder une mainmise sur les institutions constitutionnelles, judiciaires et militaires."
M. Hamadé a par ailleurs expliqué que "la désignation de candidats à la présidence ne signifie pas que les élections auront lieu", notant que "tant que le Hezbollah recevra ses ordres de l'Iran, il n'y aura pas de solution dans le futur proche. "
Et au député du Rassemblement démocratique de conclure : "Le président français Emmanuel Macron ne peut pas résoudre la question de la vacance présidentielle en menaçant d'imposer des sanctions contre des personnalités et des partis politiques".
Dans une interview accordée au quotidien libanais al-Sharq al-Awsat, M. Hamadé a souligné que "les réunions inhabituelles qui prennent place ces derniers jours n’aboutiront à rien, puisque chaque parti cherche ses propres intérêts". "Ces mouvements n'ont aucun sens. L’initiative que le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, promeut n'est qu'un souhait qui s’inscrit dans le cadre du mandat de l’ancien chef de l’État, Michel Aoun, afin de garder une mainmise sur les institutions constitutionnelles, judiciaires et militaires."
M. Hamadé a par ailleurs expliqué que "la désignation de candidats à la présidence ne signifie pas que les élections auront lieu", notant que "tant que le Hezbollah recevra ses ordres de l'Iran, il n'y aura pas de solution dans le futur proche. "
Et au député du Rassemblement démocratique de conclure : "Le président français Emmanuel Macron ne peut pas résoudre la question de la vacance présidentielle en menaçant d'imposer des sanctions contre des personnalités et des partis politiques".
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