La classe politique a rendu un vibrant hommage à Hussein el-Husseini, ancien président de la Chambre, décédé mercredi à l’âge de 85 ans.
– Nabih Berry, président de la Chambre: «Il était l'un des grands hommes du Liban, un monument national (…) qui a consacré sa vie à défendre la patrie, son peuple, son unité et son identité nationale. (…) Avec sa disparition, le Liban perd un homme qui s’est distingué par ses valeurs humaines et son apport législatif (…).»
– Fouad Siniora, ancien Premier ministre: «Le Liban a perdu une personnalité dont la stature nationale est reconnue de tous. Hussein el-Husseini (…) a œuvré pour le Liban et les Libanais et a largement contribué à l’approbation par le Parlement du document d’entente nationale (…).Il a également défendu le Liban-message et la coexistence islamo-chrétienne. (…) Il était un exemple de modération et de sagesse dont le Liban a besoin. À l’ombre (…) de l’hégémonie des armes non libanaises (en allusion au Hezbollah, NDLR), les Libanais vont regretter le président Hussein el-Husseini.»
– Tammam Salam, ancien Premier ministre: «Le Liban a perdu aujourd’hui une grande figure politique et nationale (…) qui faisait partie des dirigeants ayant contribué au maintien de l’indépendance, de l’unité et de la souveraineté du pays. (…) Il était connu pour ses positions sincères pour la sauvegarde des pratiques démocratiques (…).»
– Salim Hoss, ancien Premier ministre: «La disparition de Hussein el-Husseini est une grande perte au niveau de l’ouverture, du dialogue national, de la législation et la connaissance. (…) Hussein el-Husseini était un élément marquant de la vie parlementaire et l’un des principaux artisans de l’accord de Taëf.»
– Samir Geagea, chef des Forces libanaises: «La disparition de Hussein el-Husseini tombe au moment où le Liban a besoin de sages, de modérés et d’hommes d’État.»
– Michel Moawad, député: «Avec la disparition de Hussein el-Husseini, le Liban perd une autorité constitutionnelle et l’un des principaux hommes d’État qui ont œuvré à mettre un terme à la guerre civile et à jeter les bases de l’entente nationale consacrée par l’accord de Taëf.»
– Samy Gemayel, chef du parti Kataëb: «Avec la disparition de Hussein el-Husseini, le Liban perd un grand homme d’État qui avait foi dans la Constitution, dans l’État de droit et dans ses institutions.»
– Achraf Rifi, député: «Le Liban a perdu une figure nationale parlementaire, un garant du vivre-ensemble et un homme d’État de grande envergure qui avait foi dans l’action institutionnelle et qui préservait la Constitution.»
Des hommages ont également été rendus à l'ancien président du Parlement par de nombreuses personnalités politiques, notamment les députés Ghassan Hasbani, Ziad Hawat, Tony Frangié, Mark Daou, Hassan Mrad, Fouad Makhzoumi, Ihab Matar et Fayçal Karamé, le chef du Parti démocratique libanais Talal Arslane, le mufti de la République, le cheikh Abdelatif Deriane, le mufti jaafarite, le cheikh Ahmad Kabalan, le président du syndicat des rédacteurs, Joseph Kosseify, la Ligue maronite, le mouvement Amal, le groupe parlementaire du Hezbollah, le Conseil islamique chiite, l’uléma Ali Fadlallah, et le président du Conseil national de l’audiovisuel, Abdel Hadi Mahfouz.
– Nabih Berry, président de la Chambre: «Il était l'un des grands hommes du Liban, un monument national (…) qui a consacré sa vie à défendre la patrie, son peuple, son unité et son identité nationale. (…) Avec sa disparition, le Liban perd un homme qui s’est distingué par ses valeurs humaines et son apport législatif (…).»
– Fouad Siniora, ancien Premier ministre: «Le Liban a perdu une personnalité dont la stature nationale est reconnue de tous. Hussein el-Husseini (…) a œuvré pour le Liban et les Libanais et a largement contribué à l’approbation par le Parlement du document d’entente nationale (…).Il a également défendu le Liban-message et la coexistence islamo-chrétienne. (…) Il était un exemple de modération et de sagesse dont le Liban a besoin. À l’ombre (…) de l’hégémonie des armes non libanaises (en allusion au Hezbollah, NDLR), les Libanais vont regretter le président Hussein el-Husseini.»
– Tammam Salam, ancien Premier ministre: «Le Liban a perdu aujourd’hui une grande figure politique et nationale (…) qui faisait partie des dirigeants ayant contribué au maintien de l’indépendance, de l’unité et de la souveraineté du pays. (…) Il était connu pour ses positions sincères pour la sauvegarde des pratiques démocratiques (…).»
– Salim Hoss, ancien Premier ministre: «La disparition de Hussein el-Husseini est une grande perte au niveau de l’ouverture, du dialogue national, de la législation et la connaissance. (…) Hussein el-Husseini était un élément marquant de la vie parlementaire et l’un des principaux artisans de l’accord de Taëf.»
– Samir Geagea, chef des Forces libanaises: «La disparition de Hussein el-Husseini tombe au moment où le Liban a besoin de sages, de modérés et d’hommes d’État.»
– Michel Moawad, député: «Avec la disparition de Hussein el-Husseini, le Liban perd une autorité constitutionnelle et l’un des principaux hommes d’État qui ont œuvré à mettre un terme à la guerre civile et à jeter les bases de l’entente nationale consacrée par l’accord de Taëf.»
– Samy Gemayel, chef du parti Kataëb: «Avec la disparition de Hussein el-Husseini, le Liban perd un grand homme d’État qui avait foi dans la Constitution, dans l’État de droit et dans ses institutions.»
– Achraf Rifi, député: «Le Liban a perdu une figure nationale parlementaire, un garant du vivre-ensemble et un homme d’État de grande envergure qui avait foi dans l’action institutionnelle et qui préservait la Constitution.»
Des hommages ont également été rendus à l'ancien président du Parlement par de nombreuses personnalités politiques, notamment les députés Ghassan Hasbani, Ziad Hawat, Tony Frangié, Mark Daou, Hassan Mrad, Fouad Makhzoumi, Ihab Matar et Fayçal Karamé, le chef du Parti démocratique libanais Talal Arslane, le mufti de la République, le cheikh Abdelatif Deriane, le mufti jaafarite, le cheikh Ahmad Kabalan, le président du syndicat des rédacteurs, Joseph Kosseify, la Ligue maronite, le mouvement Amal, le groupe parlementaire du Hezbollah, le Conseil islamique chiite, l’uléma Ali Fadlallah, et le président du Conseil national de l’audiovisuel, Abdel Hadi Mahfouz.
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