Une nouvelle crise de blé se profilerait à l'horizon à en croire les échos qui circulent dans les médias libanais. Un point, ajouté à l'ordre du jour de la séance du cabinet de mercredi matin, qui demande de retirer 8 millions de dollars des droits de tirage spéciaux (DTS) du Fonds monétaire international (FMI) pour l’achat de blé, laisse penser qu'une crise couve.
À noter que la quantité de farine disponible sur le marché est suffisante pour environ 10 jours maximum.
Ces mêmes sources ont affirmé à la chaîne libanaise MTV, que selon certains importateurs, le prêt de la Banque mondiale alloué pour l'importation de farine ne sera pas débloqué au Liban avant fin février. Les Libanais seraient donc confrontés à une nouvelle crise du pain et un probable retour aux files d’attente devant les boulangeries.
Il faut également noter qu’après l'approbation du Conseil des ministres, les procédures bureaucratiques prendront du temps - entre l'accord et la signature d'un décret par le ministre des Finances, puis l’ouverture de lignes de crédit par la Banque du Liban - ce qui retarderait en conséquence l'accès à cette denrée essentielle et c'est, comme d’habitude, le citoyen qui en paiera le prix.
À sa sortie du Conseil des ministres, le ministre sortant de l'Économie a assuré "qu'aucune crise ne se profilait et que le dossier a été ajouté à l'ordre du jour en prévention pour prévoir des lignes de crédit avant le début de toute crise." Il a également assuré que le sujet sera à nouveau à l'ordre du jour du prochain Conseil des ministres.
À noter que la quantité de farine disponible sur le marché est suffisante pour environ 10 jours maximum.
Ces mêmes sources ont affirmé à la chaîne libanaise MTV, que selon certains importateurs, le prêt de la Banque mondiale alloué pour l'importation de farine ne sera pas débloqué au Liban avant fin février. Les Libanais seraient donc confrontés à une nouvelle crise du pain et un probable retour aux files d’attente devant les boulangeries.
Il faut également noter qu’après l'approbation du Conseil des ministres, les procédures bureaucratiques prendront du temps - entre l'accord et la signature d'un décret par le ministre des Finances, puis l’ouverture de lignes de crédit par la Banque du Liban - ce qui retarderait en conséquence l'accès à cette denrée essentielle et c'est, comme d’habitude, le citoyen qui en paiera le prix.
À sa sortie du Conseil des ministres, le ministre sortant de l'Économie a assuré "qu'aucune crise ne se profilait et que le dossier a été ajouté à l'ordre du jour en prévention pour prévoir des lignes de crédit avant le début de toute crise." Il a également assuré que le sujet sera à nouveau à l'ordre du jour du prochain Conseil des ministres.
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