Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a déclaré lundi que «le Conseil des ministres devrait inéluctablement se réunir une troisième fois pour discuter de dossiers urgents», réitérant que «les réunions gouvernementales sont constitutionnelles».
Lors d’un entretien avec le Conseil du syndicat de la presse, M. Mikati a souligné que, parmi les dossiers urgents à traiter, figurent «la grève des écoles publiques, les engagements du Liban vis-à-vis de l'Organisation des Nations unies, la conclusion d'un contrat de don avec la Banque mondiale s’élevant à 25 millions de dollars, ainsi que celle de contrats relatifs à la collecte des déchets et à l’importation du blé».
Interrogé sur la non-conformité des réunions du cabinet chargé de l’expédition des affaires courantes au Pacte national, M. Mikati a estimé que la polémique n’a pas lieu d’être puisque sept des douze ministres chrétiens ont participé à la dernière séance gouvernementale», démentant les propos selon lesquels il tenterait de s’arroger les prérogatives du président de la République. «Notre démarche est constitutionnelle tant qu’un nouveau chef de l’État n’est pas élu».
Le chef du gouvernement a également insisté sur l’importance d’élire un président de la République, rappelant à cet effet que «le déblocage de l'élection présidentielle doit commencer par une entente entre les chrétiens».
Lors d’un entretien avec le Conseil du syndicat de la presse, M. Mikati a souligné que, parmi les dossiers urgents à traiter, figurent «la grève des écoles publiques, les engagements du Liban vis-à-vis de l'Organisation des Nations unies, la conclusion d'un contrat de don avec la Banque mondiale s’élevant à 25 millions de dollars, ainsi que celle de contrats relatifs à la collecte des déchets et à l’importation du blé».
Interrogé sur la non-conformité des réunions du cabinet chargé de l’expédition des affaires courantes au Pacte national, M. Mikati a estimé que la polémique n’a pas lieu d’être puisque sept des douze ministres chrétiens ont participé à la dernière séance gouvernementale», démentant les propos selon lesquels il tenterait de s’arroger les prérogatives du président de la République. «Notre démarche est constitutionnelle tant qu’un nouveau chef de l’État n’est pas élu».
Le chef du gouvernement a également insisté sur l’importance d’élire un président de la République, rappelant à cet effet que «le déblocage de l'élection présidentielle doit commencer par une entente entre les chrétiens».
Lire aussi
Commentaires