Le roi Abdallah II de Jordanie a reçu le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à Amman mardi. Lors de cette rencontre, plusieurs dossiers régionaux et internationaux ont été abordés, ainsi que l'état des relations bilatérales.
Selon le communiqué du Palais royal diffusé au terme de l'entretien, le roi Abdallah a souligné la nécessité pour Israël de respecter le statut légal et historique de l'Esplanade des mosquées, à Jérusalem, et de cesser les actes de violence contre les Palestiniens, afin de favoriser la reprise du processus de paix israélo-palestinien.
Il a par ailleurs réaffirmé le soutien de la Jordanie à la solution qui repose sur la création de deux États, dont État palestinien selon les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale.
Le ministère jordanien des Affaires étrangères avait convoqué l'ambassadeur israélien à Amman pour s'élever contre la visite sur l'Esplanade des Mosquées du ministre israélien de la Sécurité Itamar Ben-Gvir (AFP)
Les discussions ont de même couvert les relations économiques, stratégiques et sécuritaires entre la Jordanie et Israël, dans un contexte de tensions depuis le retour au pouvoir du Premier ministre, Benjamin Netanyahu, le mois dernier.
Le bureau de M. Netanyahu a pour sa part indiqué que la rencontre avait porté sur "des questions régionales" et la coopération entre les deux pays. Les responsables israéliens soulignent constamment que les relations avec la Jordanie sont essentielles pour la sécurité d'Israël.
Près de la moitié des habitants de Jordanie sont d'origine palestinienne (Creative Commons)
La dernière rencontre annoncée entre les deux parties remonte à 2018. Le roi de Jordanie, qui a plusieurs fois décrit la paix avec Israël comme une "paix froide", avait jugé en 2019 que les relations étaient "au plus bas".
Depuis le début de l'année, le ministère jordanien des Affaires étrangères a convoqué l'ambassadeur israélien à Amman à deux reprises, la première pour s'élever contre la visite sur le site du ministre israélien de la Sécurité Itamar Ben-Gvir et la seconde après qu'un policier israélien eut empêché l'ambassadeur jordanien d'entrer sur l'esplanade des Mosquées.
Sami Erchoff avec AFP
Selon le communiqué du Palais royal diffusé au terme de l'entretien, le roi Abdallah a souligné la nécessité pour Israël de respecter le statut légal et historique de l'Esplanade des mosquées, à Jérusalem, et de cesser les actes de violence contre les Palestiniens, afin de favoriser la reprise du processus de paix israélo-palestinien.
Il a par ailleurs réaffirmé le soutien de la Jordanie à la solution qui repose sur la création de deux États, dont État palestinien selon les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale.
Le ministère jordanien des Affaires étrangères avait convoqué l'ambassadeur israélien à Amman pour s'élever contre la visite sur l'Esplanade des Mosquées du ministre israélien de la Sécurité Itamar Ben-Gvir (AFP)
Les discussions ont de même couvert les relations économiques, stratégiques et sécuritaires entre la Jordanie et Israël, dans un contexte de tensions depuis le retour au pouvoir du Premier ministre, Benjamin Netanyahu, le mois dernier.
Le bureau de M. Netanyahu a pour sa part indiqué que la rencontre avait porté sur "des questions régionales" et la coopération entre les deux pays. Les responsables israéliens soulignent constamment que les relations avec la Jordanie sont essentielles pour la sécurité d'Israël.
Près de la moitié des habitants de Jordanie sont d'origine palestinienne (Creative Commons)
La dernière rencontre annoncée entre les deux parties remonte à 2018. Le roi de Jordanie, qui a plusieurs fois décrit la paix avec Israël comme une "paix froide", avait jugé en 2019 que les relations étaient "au plus bas".
Depuis le début de l'année, le ministère jordanien des Affaires étrangères a convoqué l'ambassadeur israélien à Amman à deux reprises, la première pour s'élever contre la visite sur le site du ministre israélien de la Sécurité Itamar Ben-Gvir et la seconde après qu'un policier israélien eut empêché l'ambassadeur jordanien d'entrer sur l'esplanade des Mosquées.
Sami Erchoff avec AFP
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