Quinze ans après l’assassinat de Wissam Eid, plusieurs hommes politiques ont tenu à rendre hommage au courageux capitaine des Forces de sécurité intérieure (FSI), qui avait trouvé les premiers indices sur lesquels s'est fondée l'enquête sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri.
Sur son compte Twitter, l'ancien Premier ministre Saad Hariri a écrit: «Nous n’oublierons pas le martyr Wissam Eid.»
Sur la même plateforme, le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a publié: «Soit ils font face à des obstacles, soit ils sont assassinés. Dans les deux cas, le criminel est le même. Hommage à Wissam Eid.»
De son côté, le député de Zghorta et candidat présidentiel Michel Moawad a rendu hommage à Wissam Eid, à l’adjudant Oussama Merheb qui a perdu la vie avec lui et à «tous les martyrs qui se sont sacrifiés pour la justice et la vérité et qui sont tombés parce qu'ils défendaient la souveraineté du Liban et la préservation de l'État de droit». Il a ajouté: «La justice verra le jour, aussi longtemps que cela prendra».
Le député des Kataëb, Selim Sayegh, s’est, pour sa part, posé plusieurs questions: «Pourquoi le héros Eid a-t-il été assassiné? Où en est l’enquête aujourd’hui? Qui est l’auteur des entraves à la justice? Il a été écarté tout comme le général François el-Hajj. La paix peut-elle exister en l’absence de justice? L’État puise-t-il son essence des crimes organisés?»
C’est à Hazmieh, alors qu’il se rendait au siège de la commission d’enquête du Tribunal spécial pour le Liban (TSL), que Wissam Eid a été tué le 25 janvier 2008. Une voiture piégée avait explosé au passage de son véhicule. L’officier chargé de la coordination entre les FSI et la commission d’enquête internationale dirigée par le juge Daniel Bellemare, avait élaboré un rapport dans lequel il déchiffrait les données téléphoniques liées à l’assassinat de Rafic Hariri.
Sur son compte Twitter, l'ancien Premier ministre Saad Hariri a écrit: «Nous n’oublierons pas le martyr Wissam Eid.»
Sur la même plateforme, le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a publié: «Soit ils font face à des obstacles, soit ils sont assassinés. Dans les deux cas, le criminel est le même. Hommage à Wissam Eid.»
De son côté, le député de Zghorta et candidat présidentiel Michel Moawad a rendu hommage à Wissam Eid, à l’adjudant Oussama Merheb qui a perdu la vie avec lui et à «tous les martyrs qui se sont sacrifiés pour la justice et la vérité et qui sont tombés parce qu'ils défendaient la souveraineté du Liban et la préservation de l'État de droit». Il a ajouté: «La justice verra le jour, aussi longtemps que cela prendra».
Le député des Kataëb, Selim Sayegh, s’est, pour sa part, posé plusieurs questions: «Pourquoi le héros Eid a-t-il été assassiné? Où en est l’enquête aujourd’hui? Qui est l’auteur des entraves à la justice? Il a été écarté tout comme le général François el-Hajj. La paix peut-elle exister en l’absence de justice? L’État puise-t-il son essence des crimes organisés?»
C’est à Hazmieh, alors qu’il se rendait au siège de la commission d’enquête du Tribunal spécial pour le Liban (TSL), que Wissam Eid a été tué le 25 janvier 2008. Une voiture piégée avait explosé au passage de son véhicule. L’officier chargé de la coordination entre les FSI et la commission d’enquête internationale dirigée par le juge Daniel Bellemare, avait élaboré un rapport dans lequel il déchiffrait les données téléphoniques liées à l’assassinat de Rafic Hariri.
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