Le bloc parlementaire de la Fidélité à la résistance (Hezbollah), a appelé jeudi, à l’issue de sa réunion, "à s’en remettre à l’arbitrage de la Constitution et à s’éloigner des surenchères politiques pour régler les différends en cours concernant le jugement des présidents et des ministres, que ce soit dans l’affaire du port ou autre".
"La crise actuelle est le résultat d’une sortie des textes constitutionnels et légaux. La solution est que la justice et les autorités politiques exercent leurs prérogatives constitutionnelles sans manœuvres pour élargir ces dernières chacune au détriment de l’autre", a indiqué le Hezbollah, qui tente de déboulonner depuis plusieurs mois le juge Tarek Bitar, chargé de l’enquête sur le dossier de la double explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020, et paralyse, en attendant, le Conseil des ministres.
Le Hezbollah a réitéré dans ce cadre "son engagement à respecter le document d’entente nationale et la Constitution libanaise", estimant que "les élections législatives devraient avoir lieu dans leurs délais juridiques impartis et sans retard, ce qui sera un signe de stabilité et une opportunité en faveur d’une alternance pacifique au pouvoir afin de trouver des solutions légales et politiques à la crise".
"Jour après jour, la situation se complique dans le pays, en raison de l’accroissement des divergences entre les responsables d’une part et les pressions américaines, qui visent à approfondir la crise et resserrer l’étau sur les Libanais en les soumettant à un blocus et leur imposant leur diktat de l’autre", a ajouté le bloc parlementaire du parti chiite, indiquant que "les citoyens tentent d’opérer une brèche dans le mur de la crise en se préparant à exercer leur droit de demande de comptes à travers la participation aux législatives attendues (…)".
"La crise actuelle est le résultat d’une sortie des textes constitutionnels et légaux. La solution est que la justice et les autorités politiques exercent leurs prérogatives constitutionnelles sans manœuvres pour élargir ces dernières chacune au détriment de l’autre", a indiqué le Hezbollah, qui tente de déboulonner depuis plusieurs mois le juge Tarek Bitar, chargé de l’enquête sur le dossier de la double explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020, et paralyse, en attendant, le Conseil des ministres.
Le Hezbollah a réitéré dans ce cadre "son engagement à respecter le document d’entente nationale et la Constitution libanaise", estimant que "les élections législatives devraient avoir lieu dans leurs délais juridiques impartis et sans retard, ce qui sera un signe de stabilité et une opportunité en faveur d’une alternance pacifique au pouvoir afin de trouver des solutions légales et politiques à la crise".
"Jour après jour, la situation se complique dans le pays, en raison de l’accroissement des divergences entre les responsables d’une part et les pressions américaines, qui visent à approfondir la crise et resserrer l’étau sur les Libanais en les soumettant à un blocus et leur imposant leur diktat de l’autre", a ajouté le bloc parlementaire du parti chiite, indiquant que "les citoyens tentent d’opérer une brèche dans le mur de la crise en se préparant à exercer leur droit de demande de comptes à travers la participation aux législatives attendues (…)".
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