Le bloc parlementaire du Liban Fort (bloc aouniste) a affirmé mardi que «la priorité du Parlement doit être l’élection d’un président de la République». Un constat auquel sont parvenus les députés aounistes, qui, rappelons-le, ont contribué à torpiller les onze séances parlementaires pour l’élection d’un président, en provoquant à chaque fois un défaut de quorum au second tour et en déposant un bulletin blanc au premier tour.
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le bloc du Liban Fort a de nouveau contesté les réunions du Conseil des ministres auxquelles convoque le Premier ministre sortant, Najib Mikati. Il a affirmé dans ce cadre que conformément à la Constitution, «le gouvernement ne peut pas prendre des décisions que s’il jouit de toutes ses prérogatives» et que «tout acte législatif ne peut se faire que sur base d’une législation d’exception».
Le bloc aouniste s’en est également pris, une fois de plus, au gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, critiquant sa gestion de la crise financière, mais aussi le silence du gouvernement à ce sujet.
Il a enfin insisté sur la nécessité de «poursuivre l’enquête sur l’explosion au port de Beyrouth», le 4 août 2020, mettant en garde contre «un plan pour torpiller l’enquête et occulter les exécutants du crime».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le bloc du Liban Fort a de nouveau contesté les réunions du Conseil des ministres auxquelles convoque le Premier ministre sortant, Najib Mikati. Il a affirmé dans ce cadre que conformément à la Constitution, «le gouvernement ne peut pas prendre des décisions que s’il jouit de toutes ses prérogatives» et que «tout acte législatif ne peut se faire que sur base d’une législation d’exception».
Le bloc aouniste s’en est également pris, une fois de plus, au gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, critiquant sa gestion de la crise financière, mais aussi le silence du gouvernement à ce sujet.
Il a enfin insisté sur la nécessité de «poursuivre l’enquête sur l’explosion au port de Beyrouth», le 4 août 2020, mettant en garde contre «un plan pour torpiller l’enquête et occulter les exécutants du crime».
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