La Confédération Générale des Travailleurs du Liban (CGTL) a officialisé son appel à observer une journée de grève le 8 février prochain pour protester contre la dégradation des conditions des travailleurs.
Le Conseil exécutif de la Confédération Générale des Travailleurs du Liban (CGTL) s’est réuni mercredi sous la houlette de son président Bechara Al-Asmar pour entériner à l’unanimité la recommandation du bureau du personnel d’observer une grève générale le 8 février à la lumière de la détérioration totale des conditions des travailleurs et de la majorité des citoyens.
Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion, la CGTL a appelé toutes les fédérations qui lui sont affiliées, ainsi que tous les groupes concernés, à participer à cette journée de grève et en “ faire une fête nationale et l'expression d'un rejet catégorique de toute politique de pillage, d'appauvrissement et de famine”, peut-on lire dans le texte. Elle veut également faire pression pour relancer les institutions en commençant par l'élection d'un président de la République, la formation d'un gouvernement, la réforme du système judiciaire et l'élaboration d'un plan de relance économique.
Le Conseil exécutif de la Confédération Générale des Travailleurs du Liban (CGTL) s’est réuni mercredi sous la houlette de son président Bechara Al-Asmar pour entériner à l’unanimité la recommandation du bureau du personnel d’observer une grève générale le 8 février à la lumière de la détérioration totale des conditions des travailleurs et de la majorité des citoyens.
Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion, la CGTL a appelé toutes les fédérations qui lui sont affiliées, ainsi que tous les groupes concernés, à participer à cette journée de grève et en “ faire une fête nationale et l'expression d'un rejet catégorique de toute politique de pillage, d'appauvrissement et de famine”, peut-on lire dans le texte. Elle veut également faire pression pour relancer les institutions en commençant par l'élection d'un président de la République, la formation d'un gouvernement, la réforme du système judiciaire et l'élaboration d'un plan de relance économique.
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