Le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a déclaré, à l’issue d’une rencontre tenue jeudi avec le mufti de la République Abdellatif Deriane que « toutes les mesures sont prises tant sur le plan sécuritaire qu’administratif pour permettre la tenue des élections municipales au mois de mai ». Il a assuré que « celles-ci se feront dans le respect des délais prévus par la loi, le ministère étant soucieux de l’application des textes et de satisfaire le droit de tous les Libanais aux services de développement que devraient assurer les conseils municipaux ».
L’incapacité des 128 députés du Parlement à élire un président de la République a été pointée du doigt par l’une des journalistes présents à Dar el-Fatwa. À cela, le ministre sortant de l’Intérieur a répondu que « l’élection d’un chef de l’État à laquelle nous tenons fortement relève de la responsabilité des députés et que le gouvernement n’y est pour rien ». Il a indiqué que « les élections municipales sont prévues par la loi et que c’est une affaire qui est du ressort du ministère de l’Intérieur qui s’acquittera toujours de ses fonctions, quelles que soient les circonstances ». Et de mettre la lumière sur le « vent de renouveau duquel ont besoin les Libanais au sein des municipalités, ce qui pourrait contribuer à améliorer la situation sécuritaire dans le pays ».
Se prononçant sur le rôle des Forces de sécurité intérieure (FSI), « l’institution la plus ancienne du pays, datant de 1861 », M. Maoulaoui a salué l’effort déployé par chacun de leurs membres, malgré les difficultés financières, professionnelles et administratives auxquelles ils sont régulièrement confrontés. Il a, dans ce sens, rappelé que les FSI ont réussi à déjouer la criminalité et contrôler le trafic de drogue de et vers les pays du Golfe et l’Arabie Saoudite. « Les membres des FSI sont, comme tous les Libanais, victimes de la crise » qui frappe le pays de plein fouet depuis 2019, a-t-il déclaré, avant de préciser « qu’ils n’entreront jamais en confrontation avec les citoyens, parce qu’ils sont, eux aussi,, d’abord et avant tout citoyens ».
L’incapacité des 128 députés du Parlement à élire un président de la République a été pointée du doigt par l’une des journalistes présents à Dar el-Fatwa. À cela, le ministre sortant de l’Intérieur a répondu que « l’élection d’un chef de l’État à laquelle nous tenons fortement relève de la responsabilité des députés et que le gouvernement n’y est pour rien ». Il a indiqué que « les élections municipales sont prévues par la loi et que c’est une affaire qui est du ressort du ministère de l’Intérieur qui s’acquittera toujours de ses fonctions, quelles que soient les circonstances ». Et de mettre la lumière sur le « vent de renouveau duquel ont besoin les Libanais au sein des municipalités, ce qui pourrait contribuer à améliorer la situation sécuritaire dans le pays ».
Se prononçant sur le rôle des Forces de sécurité intérieure (FSI), « l’institution la plus ancienne du pays, datant de 1861 », M. Maoulaoui a salué l’effort déployé par chacun de leurs membres, malgré les difficultés financières, professionnelles et administratives auxquelles ils sont régulièrement confrontés. Il a, dans ce sens, rappelé que les FSI ont réussi à déjouer la criminalité et contrôler le trafic de drogue de et vers les pays du Golfe et l’Arabie Saoudite. « Les membres des FSI sont, comme tous les Libanais, victimes de la crise » qui frappe le pays de plein fouet depuis 2019, a-t-il déclaré, avant de préciser « qu’ils n’entreront jamais en confrontation avec les citoyens, parce qu’ils sont, eux aussi,, d’abord et avant tout citoyens ».
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