Par sa décision, le juge d'instruction près la Cour de justice semble avoir voulu éviter un nouveau duel avec le procureur général près la Cour de cassation.
Le juge d'instruction près la Cour de justice dans l'affaire de la double explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth, le juge Tarek Bitar a décidé lundi de reporter les interrogatoires des anciens ministres Ghazi Zaiter et Nouhad el-Machnouk. Ils devaient comparaitre lundi matin devant le juge, mais se sont absentés de l’audience, comme prévu.
La décision du juge de reporter les interrogatoires est motivée par « l’absence de toute communication avec le parquet général près la Cour de cassation, ce qui entrave l’exécution des lettres et notifications », ont rapporté des médias libanais.
Par sa décision, le juge Bitar semble avoir voulu éviter un nouveau duel avec le procureur général près la Cour de cassation. Selon des sources judiciaires citées par la MTV, le procureur général aurait été disposé à émettre un mandat d’amener à l’encontre du juge Bitar, si ce dernier avait décidé d’émettre un mandat d’arrêt contre les deux anciens ministres, plutôt que de reporter leurs interrogatoires.
Le juge d'instruction près la Cour de justice dans l'affaire de la double explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth, le juge Tarek Bitar a décidé lundi de reporter les interrogatoires des anciens ministres Ghazi Zaiter et Nouhad el-Machnouk. Ils devaient comparaitre lundi matin devant le juge, mais se sont absentés de l’audience, comme prévu.
La décision du juge de reporter les interrogatoires est motivée par « l’absence de toute communication avec le parquet général près la Cour de cassation, ce qui entrave l’exécution des lettres et notifications », ont rapporté des médias libanais.
Par sa décision, le juge Bitar semble avoir voulu éviter un nouveau duel avec le procureur général près la Cour de cassation. Selon des sources judiciaires citées par la MTV, le procureur général aurait été disposé à émettre un mandat d’amener à l’encontre du juge Bitar, si ce dernier avait décidé d’émettre un mandat d’arrêt contre les deux anciens ministres, plutôt que de reporter leurs interrogatoires.
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