©Photo tirée de la pièce de Josyane Boulos, La fille qui aimait Julio. Crédit photo : Etienne Seukunian
Plusieurs projets sont en perspective au théâtre Monnot. Vu que les deux salles, la grande et l’ACT sont presque totalement réservées jusqu’à fin 2023 pour des représentations scéniques en soirée, des journées entières sont à remplir. Défi que relève Josyane Boulos haut la main. Ainsi, plusieurs idées sont en cours de mise en place: conférences, lectures gratuites, ateliers divers, spectacles de marionnettes et autres événements variés. Un engagement auquel Josyane Boulos demeure fidèle depuis qu’elle assure la direction du théâtre dans la bienveillance et la bonne humeur, entourée de son équipe.
Josyane Boulos est certes fidèle aux personnes qui l’ont accompagnée dans son parcours de longue date dans le domaine du théâtre, mais elle demeure ouverte à tout genre de perspectives pour éviter les cercles vicieux dans le domaine du processus créatif. Elle atteste: «Les personnes avec qui je suis habituée à travailler font toujours partie de mes projets, mais je reste à l'affût de nouvelles connaissances ou propositions, sinon on tourne en rond. On a besoin de nouvelles énergies, surtout de celle des jeunes parce qu’ils ont encore les idées fraîches… Il ne faut pas oublier que notre bagage est lourd.»
Quant au fait d’être à la tête du théâtre Monnot, «c’était un rêve», a-t-elle souvent répété, avec un franc sourire. En effet, depuis que Josyane Boulos gère cet espace mythique, il regorge de pièces et d’activités. Pour elle, le théâtre n’est pas consacré aux élites et tout le monde doit y avoir accès «comme au temps de Shakespeare», dit-elle. «Je suis productrice à la base. Il en résulte que quand le théâtre est vide, je crée de l’événement. Je suis proactive. Je mets des thèmes en place. Dès que je remarque un emplacement vide, je le remplis. Comme le Monnot est un théâtre indépendant, nous devons faire tout notre possible pour rentrer dans nos frais. Voilà pourquoi je procède à des brainstormings avec de nouveaux esprits.»
Pour ce qui est de trouver le temps nécessaire pour tout gérer, elle répond: «On me pose souvent cette question. J’ai le temps parce que je ne suis pas mariée, tout simplement. Je peux travailler tard le soir, très tôt le matin, à ma guise. Par ailleurs, l’organisation est cruciale pour venir à bout de toutes les tâches…
Il ne faut pas oublier le fait que je suis calée en technologie. Tous mes outils technologiques sont connectés et corrélés. Si je me réveille au beau milieu de la nuit et qu’une idée me vient à l’esprit, je la note sur mon téléphone et, grâce iCloud, je la retrouve sur tous mes appareils le lendemain.»
En parallèle, Josyane Boulos, productrice, auteur et directrice artistique, ne délaisse jamais son amour pour la scène. Loin de se la jouer chef superviseur, elle est partout. Derrière la conception des premières idées, l’exécution des projets, dans les coulisses, sur les planches… Elle est de ces leaders qui «connaissent le chemin, montrent le chemin… et battent les chemins.»
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Josyane Boulos est certes fidèle aux personnes qui l’ont accompagnée dans son parcours de longue date dans le domaine du théâtre, mais elle demeure ouverte à tout genre de perspectives pour éviter les cercles vicieux dans le domaine du processus créatif. Elle atteste: «Les personnes avec qui je suis habituée à travailler font toujours partie de mes projets, mais je reste à l'affût de nouvelles connaissances ou propositions, sinon on tourne en rond. On a besoin de nouvelles énergies, surtout de celle des jeunes parce qu’ils ont encore les idées fraîches… Il ne faut pas oublier que notre bagage est lourd.»
Quant au fait d’être à la tête du théâtre Monnot, «c’était un rêve», a-t-elle souvent répété, avec un franc sourire. En effet, depuis que Josyane Boulos gère cet espace mythique, il regorge de pièces et d’activités. Pour elle, le théâtre n’est pas consacré aux élites et tout le monde doit y avoir accès «comme au temps de Shakespeare», dit-elle. «Je suis productrice à la base. Il en résulte que quand le théâtre est vide, je crée de l’événement. Je suis proactive. Je mets des thèmes en place. Dès que je remarque un emplacement vide, je le remplis. Comme le Monnot est un théâtre indépendant, nous devons faire tout notre possible pour rentrer dans nos frais. Voilà pourquoi je procède à des brainstormings avec de nouveaux esprits.»
Pour ce qui est de trouver le temps nécessaire pour tout gérer, elle répond: «On me pose souvent cette question. J’ai le temps parce que je ne suis pas mariée, tout simplement. Je peux travailler tard le soir, très tôt le matin, à ma guise. Par ailleurs, l’organisation est cruciale pour venir à bout de toutes les tâches…
Il ne faut pas oublier le fait que je suis calée en technologie. Tous mes outils technologiques sont connectés et corrélés. Si je me réveille au beau milieu de la nuit et qu’une idée me vient à l’esprit, je la note sur mon téléphone et, grâce iCloud, je la retrouve sur tous mes appareils le lendemain.»
En parallèle, Josyane Boulos, productrice, auteur et directrice artistique, ne délaisse jamais son amour pour la scène. Loin de se la jouer chef superviseur, elle est partout. Derrière la conception des premières idées, l’exécution des projets, dans les coulisses, sur les planches… Elle est de ces leaders qui «connaissent le chemin, montrent le chemin… et battent les chemins.»
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