Dans la nuit du dimanche à lundi, la famille Jouni a miraculeusement survécu à l’effondrement du toit de leur demeure, dans le village de Kfarremane.
Dimanche en soirée, une partie du plafond de la cuisine s’est effondrée, alors qu’un des enfants s’y trouvait. La famille ne s’est pas inquiétée outre-mesure. Dans la nuit, à 1h, c’est tout le plafond qui s’est écroulé. « Tout a commencé lorsqu’une fissure a été repérée sur le plafond au lendemain du tremblement de terre survenu lundi dernier », a raconté l’épouse de Youssef Jouni, citée par l’Agence nationale d’information.
Elle a déclaré qu’au vu de la situation économique déplorable, la famille n’a pas les moyens de restaurer la maison qui est assez vieille et qui nécessite des travaux d’entretien. « Nous n’avons pas d’autre endroit où aller et n’avons pas non plus la possibilité de louer un autre appartement », s’est-elle lamentée.
Rappelons que le tremblement de terre de magnitude 7,8 qui a frappé la Turquie et la Syrie le lundi 6 février a été ressenti jusqu’au Liban où de multiples demeures présentent un danger certain, notamment dans les quartiers pauvres.
Bien que le ministère de l’Intérieur ait décrété l’état d’urgence municipale et chargé le Haut-comité de secours d'élaborer un rapport détaillé sur les bâtiments endommagés, le risque d’effondrement d’habitations délabrées et non entretenues est de plus en plus accru.
Dimanche en soirée, une partie du plafond de la cuisine s’est effondrée, alors qu’un des enfants s’y trouvait. La famille ne s’est pas inquiétée outre-mesure. Dans la nuit, à 1h, c’est tout le plafond qui s’est écroulé. « Tout a commencé lorsqu’une fissure a été repérée sur le plafond au lendemain du tremblement de terre survenu lundi dernier », a raconté l’épouse de Youssef Jouni, citée par l’Agence nationale d’information.
Elle a déclaré qu’au vu de la situation économique déplorable, la famille n’a pas les moyens de restaurer la maison qui est assez vieille et qui nécessite des travaux d’entretien. « Nous n’avons pas d’autre endroit où aller et n’avons pas non plus la possibilité de louer un autre appartement », s’est-elle lamentée.
Rappelons que le tremblement de terre de magnitude 7,8 qui a frappé la Turquie et la Syrie le lundi 6 février a été ressenti jusqu’au Liban où de multiples demeures présentent un danger certain, notamment dans les quartiers pauvres.
Bien que le ministère de l’Intérieur ait décrété l’état d’urgence municipale et chargé le Haut-comité de secours d'élaborer un rapport détaillé sur les bâtiments endommagés, le risque d’effondrement d’habitations délabrées et non entretenues est de plus en plus accru.
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