Décidément, les oignons n’arrêtent pas de faire le buzz. Pour éviter que leur prix n'atteigne de nouveaux sommets, le ministère de l’Agriculture a décidé de soumettre leur exportation à une autorisation préalable.
Le prix exorbitant des oignons a conduit le ministère mardi à justifier la hausse significative du tarif (70.000LL le kilo mercredi matin) à cause du coût élevé du transport international et du fret. Le volume des exportations libanaises a sensiblement augmenté dû à la dévaluation de la monnaie nationale. Ce qui a entrainé une baisse de l’offre par rapport à la demande sur le marché local.
Plus tôt en journée, le président de la Fédération des syndicats d'agriculteurs, Jihad Ballouk, a assuré, dans un communiqué, que le problème ne se situe pas dans le prix surréel des oignons, mais dans la mauvaise gestion du secteur. "Est-il normal de donner des licences d'exportation à tout vent de sorte que les récoltes soient exportées sans prêter attention aux besoins du marché local?”, s’est-il demandé. Et d'ajouter: "Le pire, c'est que la même marchandise est réimportée à des prix exorbitants!"
Le prix exorbitant des oignons a conduit le ministère mardi à justifier la hausse significative du tarif (70.000LL le kilo mercredi matin) à cause du coût élevé du transport international et du fret. Le volume des exportations libanaises a sensiblement augmenté dû à la dévaluation de la monnaie nationale. Ce qui a entrainé une baisse de l’offre par rapport à la demande sur le marché local.
Plus tôt en journée, le président de la Fédération des syndicats d'agriculteurs, Jihad Ballouk, a assuré, dans un communiqué, que le problème ne se situe pas dans le prix surréel des oignons, mais dans la mauvaise gestion du secteur. "Est-il normal de donner des licences d'exportation à tout vent de sorte que les récoltes soient exportées sans prêter attention aux besoins du marché local?”, s’est-il demandé. Et d'ajouter: "Le pire, c'est que la même marchandise est réimportée à des prix exorbitants!"
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