Bassel Habkouk, un Libanais rescapé du séisme qui a dévasté le 6 février le sud de la Turquie et le nord de la Syrie, a atterri jeudi à l’aéroport de Beyrouth. La dépouille mortelle d’Élias Haddad a aussi été rapatriée. Les deux victimes s’étaient rendues le dimanche 5 février au soir en Turquie pour y passer quelques jours, lorsque le séisme a eu lieu. Bassel Habkouk a été extrait vivant le mercredi 8 février des décombres de l’hôtel. Le corps d’Élias Haddad a lui été dégagé une semaine plus tard, le 15 février, de sous les décombres de l’hôtel où il logeait.
À son arrivée à Beyrouth, Bassel Habkouk a remercié pour leurs efforts les membres de la Défense Civile, dépêchés par le Liban pour aider aux opérations de secours en Turquie. «Ils creusaient avec leurs mains pour tenter de retrouver des rescapés et des victimes», a-t-il déclaré. «Il faut absolument soutenir ces héros», a ajouté Bassel Habkouk, soulignant qu’il aurait souhaité que les pompiers libanais se soient vus confier la mission à Antioche, là où Élias Haddad et lui se trouvaient. Le rescapé a également tenu à remercier «toute personne ayant allumé une bougie à son intention ou ayant prié pour lui» afin qu’il s'en sorte vivant.
Interrogé sur ce qui l’a poussé à poursuivre la lutte, alors qu’il se trouvait sous les décombres, M. Habkouk a répondu qu’il tirait sa force du visage de sa fille et de sa famille, et qu’il ne pensait qu’à leur revenir en vie, ne s’arrêtant jamais de prier.
À son arrivée à Beyrouth, Bassel Habkouk a remercié pour leurs efforts les membres de la Défense Civile, dépêchés par le Liban pour aider aux opérations de secours en Turquie. «Ils creusaient avec leurs mains pour tenter de retrouver des rescapés et des victimes», a-t-il déclaré. «Il faut absolument soutenir ces héros», a ajouté Bassel Habkouk, soulignant qu’il aurait souhaité que les pompiers libanais se soient vus confier la mission à Antioche, là où Élias Haddad et lui se trouvaient. Le rescapé a également tenu à remercier «toute personne ayant allumé une bougie à son intention ou ayant prié pour lui» afin qu’il s'en sorte vivant.
Interrogé sur ce qui l’a poussé à poursuivre la lutte, alors qu’il se trouvait sous les décombres, M. Habkouk a répondu qu’il tirait sa force du visage de sa fille et de sa famille, et qu’il ne pensait qu’à leur revenir en vie, ne s’arrêtant jamais de prier.
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