Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a conseillé dimanche au secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, de « ne pas miser sur une guerre civile » en Israël, selon le quotidien « Jerusalem Times ».
S’adressant au gouvernement israélien avant sa réunion hebdomadaire, il a déclaré: « J'ai entendu les propos de Hassan Nasrallah lorsqu'il a parlé (jeudi) des manifestations contre le gouvernement et a dit avec satisfaction qu'une guerre civile en Israël approchait ». « Par conséquent, je dis à (Hassan) Nasrallah : Ne comptez pas sur une guerre civile. Cela n'arrivera pas, parce que nous sommes vraiment frères. Cela n'arrivera pas, parce que nous sommes une démocratie. Dans une démocratie, il y a des divergences d'opinion et des débats », a-t-il ajouté.
Les propos de Benjamin Netanyahu interviennent suite à des protestations croissantes contre le programme de réforme judiciaire de son gouvernement.
Il a en outre souligné l'engagement de son pays à empêcher l'Iran d'obtenir des armes nucléaires et à se défendre le long de sa frontière nord. « Nous faisons – et ferons – tout pour défendre notre peuple, et nous répondons avec force aux attaques contre nous », a-t-il déclaré.
Quinze personnes ont été tuées dans la nuit de samedi à dimanche, selon une ONG, par une frappe israélienne sur un immeuble à Damas, dans un quartier sécurisé abritant un centre culturel iranien et le siège de plusieurs organes de sécurité.
S’adressant au gouvernement israélien avant sa réunion hebdomadaire, il a déclaré: « J'ai entendu les propos de Hassan Nasrallah lorsqu'il a parlé (jeudi) des manifestations contre le gouvernement et a dit avec satisfaction qu'une guerre civile en Israël approchait ». « Par conséquent, je dis à (Hassan) Nasrallah : Ne comptez pas sur une guerre civile. Cela n'arrivera pas, parce que nous sommes vraiment frères. Cela n'arrivera pas, parce que nous sommes une démocratie. Dans une démocratie, il y a des divergences d'opinion et des débats », a-t-il ajouté.
Les propos de Benjamin Netanyahu interviennent suite à des protestations croissantes contre le programme de réforme judiciaire de son gouvernement.
Il a en outre souligné l'engagement de son pays à empêcher l'Iran d'obtenir des armes nucléaires et à se défendre le long de sa frontière nord. « Nous faisons – et ferons – tout pour défendre notre peuple, et nous répondons avec force aux attaques contre nous », a-t-il déclaré.
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