L'ancien ministre et conseiller du Premier ministre sortant Najib Mikati, Nicolas Nahas, a indiqué que la priorité du président du Conseil est que la reprise normal des activités du secteur bancaire de manière à préserver les intérêts des citoyens.
Dans une inasterview accordée à la "Voix de Tout le Liban", M. Nahas a estimé que ce que traverse le Liban en termes de crise bancaire "équivaut à un déclin du système dans son ensemble", et qu'il n'est pas permis de le traiter au coup par coup, mais plutôt par une approche globale.
Il a expliqué que M. Mikati travaille à trouver des solutions appropriées afin de préserver le secteur bancaire ainsi que les droits des déposants, espérant parvenir à un accord au cours de la semaine en cours et de restituer à chacun son droit.
Concernant la décision des banques de ne pas se conformer à la justice, M.Nahas a refusé de porter des jugements arbitraires, mais a critiqué les pratiques suspectes de la juge Ghada Aoun.
M. Nahas a, par ailleurs, démenti les informations qui circulent à propos d’une entente entre M. Mikati et le président de la Chambre Nabih Berry pour torpiller l'accord avec le Fonds monétaire international (FMI). Il a souligné que le Premier ministre sortant ne peut "faire marche arrière après tous les efforts qui ont été déployés pour conclure cet accord".
Dans une inasterview accordée à la "Voix de Tout le Liban", M. Nahas a estimé que ce que traverse le Liban en termes de crise bancaire "équivaut à un déclin du système dans son ensemble", et qu'il n'est pas permis de le traiter au coup par coup, mais plutôt par une approche globale.
Il a expliqué que M. Mikati travaille à trouver des solutions appropriées afin de préserver le secteur bancaire ainsi que les droits des déposants, espérant parvenir à un accord au cours de la semaine en cours et de restituer à chacun son droit.
Concernant la décision des banques de ne pas se conformer à la justice, M.Nahas a refusé de porter des jugements arbitraires, mais a critiqué les pratiques suspectes de la juge Ghada Aoun.
M. Nahas a, par ailleurs, démenti les informations qui circulent à propos d’une entente entre M. Mikati et le président de la Chambre Nabih Berry pour torpiller l'accord avec le Fonds monétaire international (FMI). Il a souligné que le Premier ministre sortant ne peut "faire marche arrière après tous les efforts qui ont été déployés pour conclure cet accord".
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