Le Premier ministre sortant Najib Mikati a reçu lundi Ali Hassan Khalil, membre du bloc parlementaire du mouvement Amal et proche conseiller du président de la Chambre, ainsi que Hussein Khalil, conseiller politique du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah . Cette rencontre avait pour but de discuter de la fin du mandat du directeur de la Sûreté générale Abbas Ibrahim (proche du tandem Amal-Hezbollah) expirant le 2 mars.
Après le report, deux fois, de la réunion du bureau de la Chambre, qui devait s’entendre sur l’ordre du jour de la séance législative souhaitée par le président du Parlement pour permettre la prorogation du mandat d'Abbas Ibrahim, les représentants du tandem Amal-Hezbollah ont fait valoir devant le Premier ministre sortant leur demande de maintien du directeur de la Sûreté générale à son poste.
Lundi dans la journée, le bureau de la Chambre s’était réuni à Aïn el-Tiné sans réussir à fixer une date pour la prochaine séance législative, pour cause, différents groupes parlementaires avaient précédemment annoncé leur volonté de boycotter toute séance législative en l’absence d’un président de la République. C’est le cas des députés dits de l’opposition regroupant les Forces libanaises, les Kataëb, le groupe Renouveau, les députés dits du changement ainsi que d’autres indépendants. Le chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil avait également exprimé la semaine dernière sa volonté de boycotter toute séance législative avant qu’un président ne soit élu, volonté réitérée lundi par le vice-président de la Chambre Elias Bou Saab.
Après le report, deux fois, de la réunion du bureau de la Chambre, qui devait s’entendre sur l’ordre du jour de la séance législative souhaitée par le président du Parlement pour permettre la prorogation du mandat d'Abbas Ibrahim, les représentants du tandem Amal-Hezbollah ont fait valoir devant le Premier ministre sortant leur demande de maintien du directeur de la Sûreté générale à son poste.
Lundi dans la journée, le bureau de la Chambre s’était réuni à Aïn el-Tiné sans réussir à fixer une date pour la prochaine séance législative, pour cause, différents groupes parlementaires avaient précédemment annoncé leur volonté de boycotter toute séance législative en l’absence d’un président de la République. C’est le cas des députés dits de l’opposition regroupant les Forces libanaises, les Kataëb, le groupe Renouveau, les députés dits du changement ainsi que d’autres indépendants. Le chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil avait également exprimé la semaine dernière sa volonté de boycotter toute séance législative avant qu’un président ne soit élu, volonté réitérée lundi par le vice-président de la Chambre Elias Bou Saab.
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