Des coups de feu ont été entendus jeudi matin, dans le camp palestinien d'Ain Heloué. L’auteur des tirs en l’air est le frère de Mahmoud Zoubaidat (membre du mouvement Fatah). Ce dernier est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi, n’ayant pas survécu aux blessures qui lui ont été infligées à la suite d’affrontements entre des membres du mouvement et d’autres issus de groupes islamistes. Le camp est régulièrement le théâtre de combats entre factions palestiniennes, alors que les autorités libanaises et palestiniennes sont incapables de mettre un terme au chaos généralisé qui règne dans cette zone de non-droit.
Les tensions sont montées mercredi soir entre les deux camps dans le quartier de Safsaf faisant sept blessés, avant de s’intensifier après l’annonce de la mort de Zoubaidat. Les forces palestiniennes sont ainsi intervenues pour mettre fin au conflit. Une démarche qui n’a eu d’effet que quelques heures, avant que les fusillades ne reprennent jeudi matin, causant des dommages matériels.
Pour éviter tout danger, les écoles de l’UNRWA, ainsi que certains établissements scolaires voisins à l’intérieur du camp palestinien ont fermé leurs portes. Les contacts se sont également multipliés entre les dirigeants libanais et palestiniens pour un retour au calme. Il a été convenu que les forces palestiniennes procèdent à la formation d’une commission d’enquête pour en déterminer les responsabilités et prendre les mesures nécessaires à l’encontre de ceux à l’origine des tirs. C’est dans ce contexte que le député, Abdul Rahman Bizri a dénoncé les affrontements et a appelé au calme, « de telles actions pouvant menacer la paix et la stabilité, d’autant plus que le pays se trouve dans une situation en même temps délicate et dangereuse ».
Pour sa part, l'administration de l'hôpital d'appel humanitaire à l'intérieur du camp a annoncé dans un communiqué : « A la suite des malheureux affrontements qui ont eu lieu le mercredi 1er mars 2023, dans le camp d'Ain Heloué, l'hôpital a reçu sept blessés. Les premiers soins leur ont été prodigués. Aux urgences, une intervention chirurgicale d'urgence a été pratiquée pour l'un des blessés, tandis qu'un autre a été admis au service d'hospitalisation pour un suivi. Deux blessés ont été transférés à l'extérieur du camp par l'ambulance et le reste ont été renvoyés chez eux après avoir été soignés ».
À la suite des événements, les écoles de l'UNRWA ont annoncé la fermeture de toutes ses écoles affiliées à l'intérieur du camp, et plusieurs écoles et collèges libanais de l'Université libanaise entourant le camp ont également annoncé la fermeture de leurs portes.
Les tensions sont montées mercredi soir entre les deux camps dans le quartier de Safsaf faisant sept blessés, avant de s’intensifier après l’annonce de la mort de Zoubaidat. Les forces palestiniennes sont ainsi intervenues pour mettre fin au conflit. Une démarche qui n’a eu d’effet que quelques heures, avant que les fusillades ne reprennent jeudi matin, causant des dommages matériels.
Pour éviter tout danger, les écoles de l’UNRWA, ainsi que certains établissements scolaires voisins à l’intérieur du camp palestinien ont fermé leurs portes. Les contacts se sont également multipliés entre les dirigeants libanais et palestiniens pour un retour au calme. Il a été convenu que les forces palestiniennes procèdent à la formation d’une commission d’enquête pour en déterminer les responsabilités et prendre les mesures nécessaires à l’encontre de ceux à l’origine des tirs. C’est dans ce contexte que le député, Abdul Rahman Bizri a dénoncé les affrontements et a appelé au calme, « de telles actions pouvant menacer la paix et la stabilité, d’autant plus que le pays se trouve dans une situation en même temps délicate et dangereuse ».
Pour sa part, l'administration de l'hôpital d'appel humanitaire à l'intérieur du camp a annoncé dans un communiqué : « A la suite des malheureux affrontements qui ont eu lieu le mercredi 1er mars 2023, dans le camp d'Ain Heloué, l'hôpital a reçu sept blessés. Les premiers soins leur ont été prodigués. Aux urgences, une intervention chirurgicale d'urgence a été pratiquée pour l'un des blessés, tandis qu'un autre a été admis au service d'hospitalisation pour un suivi. Deux blessés ont été transférés à l'extérieur du camp par l'ambulance et le reste ont été renvoyés chez eux après avoir été soignés ».
À la suite des événements, les écoles de l'UNRWA ont annoncé la fermeture de toutes ses écoles affiliées à l'intérieur du camp, et plusieurs écoles et collèges libanais de l'Université libanaise entourant le camp ont également annoncé la fermeture de leurs portes.
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