Sur les réseaux sociaux, de nombreux appels à la désobéissance civile ont été récemment lancés avec la mise en vigueur du nouveau taux de la plateforme Sayrafa (70 000 livres pour un dollar) et de l’entrée en vigueur de la nouvelle tarification d’EDL, indexée sur le taux de Sayrafa. Les abonnés au réseau électrique public sont ainsi encouragés à ne pas payer leurs factures à EDL, à cause de la hausse des tarifs d’un courant qui est assuré entre une et quatre heures par jour, dans le meilleur des cas.
Réagissant à ces appels, EDL a expliqué, dans un communiqué, que les factures qui vont être perçues actuellement couvrent seulement les deux derniers mois de 2022 pour un taux de 52 320 livres. Il s’agit du taux de Sayrafa Plus pour novembre et décembre, c’est-à-dire 43 600 + 20%.
L’office a ajouté qu’il ne fait que se conformer aux directives de la Banque du Liban en ce sens, données à la demande du gouvernement, et que toute façon, ses tarifs restent inférieurs à ceux perçus par les propriétaires de générateurs privés, pour le kw/h. Un argument qui aurait pu avoir de sens si le courant était normalement fourni par EDL et si les abonnés pouvaient se passer des générateurs privés.
Réagissant à ces appels, EDL a expliqué, dans un communiqué, que les factures qui vont être perçues actuellement couvrent seulement les deux derniers mois de 2022 pour un taux de 52 320 livres. Il s’agit du taux de Sayrafa Plus pour novembre et décembre, c’est-à-dire 43 600 + 20%.
L’office a ajouté qu’il ne fait que se conformer aux directives de la Banque du Liban en ce sens, données à la demande du gouvernement, et que toute façon, ses tarifs restent inférieurs à ceux perçus par les propriétaires de générateurs privés, pour le kw/h. Un argument qui aurait pu avoir de sens si le courant était normalement fourni par EDL et si les abonnés pouvaient se passer des générateurs privés.
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