Réuni sous la présidence du mufti de la République, cheikh Abdel Latif Deriane, le conseil islamique chérié a appelé les leaders politiques et partisans à « une entente nationale qui déboucherait sur l’élection d’un président de la République qui protégerait la Constitution, se conformerait à l’accord de Taëf et préserverait l’unité nationale ».
Le Conseil, qui a stigmatisé « le blocage et les alignements politiques à caractère confessionnel, à l’intérieur et en dehors du Parlement », a mis en garde contre les échanges d’accusation « destinés à faire assumer à autrui la responsabilité de l’effondrement à tous les niveaux dans le pays ». Pour lui, « l’effondrement est le fait des responsables libanais dont les propos sont en totale contradiction avec leurs intentions et qui ont réussi à transformer le Liban d’un État sûr et solide à un pays qui souffre de faim et qui redoute désormais l’avenir ».
Le Conseil, qui a stigmatisé « le blocage et les alignements politiques à caractère confessionnel, à l’intérieur et en dehors du Parlement », a mis en garde contre les échanges d’accusation « destinés à faire assumer à autrui la responsabilité de l’effondrement à tous les niveaux dans le pays ». Pour lui, « l’effondrement est le fait des responsables libanais dont les propos sont en totale contradiction avec leurs intentions et qui ont réussi à transformer le Liban d’un État sûr et solide à un pays qui souffre de faim et qui redoute désormais l’avenir ».
Lire aussi
Commentaires