Le Premier ministre sortant Najib Mikati a réaffirmé l’engagement du Liban « à protéger sa sécurité et celle des pays arabes».
Lors d'une table ronde au sujet de la sécurisation des chaines d’approvisionnement, M. Mikati a souligné que « les relations avec les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) se sont détériorées et le Liban en a payé le prix ». Et d’ajouter : « Nous ne permettrons pas que cela se reproduise. Il faut prévenir toute atteinte contre les pays frères qui sont toujours aux côtés du Liban et empêcher le trafic de drogue, notamment vers l’Arabie saoudite.»
Depuis plus d’un an, les autorités libanaises ont redoublé d’efforts pour endiguer le trafic de drogue, notamment de pilules de Captagon vers les pays du Golfe. En avril 2021, l’Arabie saoudite et différents pays du Golfe avaient fermé leurs frontières aux fruits et légumes en provenance du Liban, sous prétexte que les chargements étaient bourrés d’amphétamines, notamment de Captagon, un trafic imputé au Hezbollah et effectué à partir du Liban et de la Syrie.
Les relations entre le Liban et l’Arabie saoudite se sont tendues ces dernières années. Les deux pays ont toujours eu de bonnes relations politiques et économiques. Or, depuis le début de la guerre au Yémen et l’intervention militaire de la coalition arabe menée par l’Arabie saoudite en mars 2015, le royaume wahhabite est critiqué et attaqué par le Hezbollah et ses alliés. Le secrétaire général de la formation pro-iranienne, Hassan Nasrallah, ne manquait aucune occasion pour attaquer l’Arabie saoudite dans des discours agressifs à l’encontre de la monarchie, tout en défendant l’influence iranienne au Yémen. Mais, le sayed a baissé le ton envers le royaume depuis que les contours de l’accord sur les frontières maritimes entre le Liban et Israël, signé en octobre dernier, ont commencé à se préciser.
Lors d'une table ronde au sujet de la sécurisation des chaines d’approvisionnement, M. Mikati a souligné que « les relations avec les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) se sont détériorées et le Liban en a payé le prix ». Et d’ajouter : « Nous ne permettrons pas que cela se reproduise. Il faut prévenir toute atteinte contre les pays frères qui sont toujours aux côtés du Liban et empêcher le trafic de drogue, notamment vers l’Arabie saoudite.»
Depuis plus d’un an, les autorités libanaises ont redoublé d’efforts pour endiguer le trafic de drogue, notamment de pilules de Captagon vers les pays du Golfe. En avril 2021, l’Arabie saoudite et différents pays du Golfe avaient fermé leurs frontières aux fruits et légumes en provenance du Liban, sous prétexte que les chargements étaient bourrés d’amphétamines, notamment de Captagon, un trafic imputé au Hezbollah et effectué à partir du Liban et de la Syrie.
Les relations entre le Liban et l’Arabie saoudite se sont tendues ces dernières années. Les deux pays ont toujours eu de bonnes relations politiques et économiques. Or, depuis le début de la guerre au Yémen et l’intervention militaire de la coalition arabe menée par l’Arabie saoudite en mars 2015, le royaume wahhabite est critiqué et attaqué par le Hezbollah et ses alliés. Le secrétaire général de la formation pro-iranienne, Hassan Nasrallah, ne manquait aucune occasion pour attaquer l’Arabie saoudite dans des discours agressifs à l’encontre de la monarchie, tout en défendant l’influence iranienne au Yémen. Mais, le sayed a baissé le ton envers le royaume depuis que les contours de l’accord sur les frontières maritimes entre le Liban et Israël, signé en octobre dernier, ont commencé à se préciser.
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