Le Premier ministre sortant Najib Mikati a salué l’accord conclu vendredi entre Riyad et Téhéran, soulignant que « le Liban soutient automatiquement toute voie consensuelle dans la région, surtout si l'Arabie saoudite en fait partie, avec son importante dimension arabe et islamique, et sa large influence régionale ».
Dans un entretien au quotidien saoudien « Asharq Al-Awsat » paru dimanche, le chef du gouvernement a estimé que « l’apaisement qui pourrait résulter de cette voie ne peut que se refléter positivement sur toute la région, notamment le Liban », soulignant que « l'arrêt de l'ingérence dans les affaires intérieures des pays de la région contribuera au développement ». « Ces développements constituent pour nous une opportunité de respirer et de regarder vers l'avenir », a-t-il précisé.
Najib Mikati a en outre appuyé les propos du ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, concernant le dossier présidentiel. "En tant que Libanais, nous ne devons pas attendre le monde extérieur, et devons accomplir notre devoir d’élire un président, bâtir des institutions et résoudre nos problèmes", a indiqué le Premier ministre sortant. On rappelle que le chef de la diplomatie saoudienne, qui avait été interrogé sur les effets du rapprochement saoudo-iranien sur la crise au Liban, avait répondu : "Le Liban a besoin d’un rapprochement interlibanais et non d’un rapprochement entre Riyad et Téhéran".
La réaction favorable de M. Mikati au rapprochement saoudo-iranien intervient après plusieurs autres positions de responsables libanais, allant dans le même sens.
Dans un entretien au quotidien saoudien « Asharq Al-Awsat » paru dimanche, le chef du gouvernement a estimé que « l’apaisement qui pourrait résulter de cette voie ne peut que se refléter positivement sur toute la région, notamment le Liban », soulignant que « l'arrêt de l'ingérence dans les affaires intérieures des pays de la région contribuera au développement ». « Ces développements constituent pour nous une opportunité de respirer et de regarder vers l'avenir », a-t-il précisé.
Najib Mikati a en outre appuyé les propos du ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, concernant le dossier présidentiel. "En tant que Libanais, nous ne devons pas attendre le monde extérieur, et devons accomplir notre devoir d’élire un président, bâtir des institutions et résoudre nos problèmes", a indiqué le Premier ministre sortant. On rappelle que le chef de la diplomatie saoudienne, qui avait été interrogé sur les effets du rapprochement saoudo-iranien sur la crise au Liban, avait répondu : "Le Liban a besoin d’un rapprochement interlibanais et non d’un rapprochement entre Riyad et Téhéran".
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