Le mufti de la République, cheikh Abdel Latif Deriane, a adressé aux Libanais, plus particulièrement aux musulmans, un message à l’occasion du début du mois de Ramadan.
Abordant la conjoncture présente sur la scène locale, cheikh Deriane a lancé un cri d’alarme à l’adresse des responsables politiques qui tiennent les rênes du pouvoir, soulignant notamment qu’à défaut de l’élection d’un président de la République, «le chaos sévira dans le pays». «Un chaos qui pointe déjà à l’horizon», a affirmé le mufti qui a ajouté sur ce plan: «Les responsables de la chose publique n’ont pas assumé leurs responsabilités et n’ont pas pris en considération les épreuves endurées par la population » (…).
Et de poursuivre: «En 2019, la population a voulu se débarrasser de ces gens-là qui ont échoué à assumer leurs responsabilités. Comment en est-on arrivé à une vacance au niveau de la présidence de la République? Comment les institutions se sont-elles effondrées? Comment la faim a-t-elle été crescendo? Nous le disons en toute franchise, soit un président de la République est élu, soit le chaos qui pointe à l’horizon s’installera».
Sur un tout autre plan, le mufti s’est élevé contre le projet de division du conseil municipal de Beyrouth.
Abordant la conjoncture présente sur la scène locale, cheikh Deriane a lancé un cri d’alarme à l’adresse des responsables politiques qui tiennent les rênes du pouvoir, soulignant notamment qu’à défaut de l’élection d’un président de la République, «le chaos sévira dans le pays». «Un chaos qui pointe déjà à l’horizon», a affirmé le mufti qui a ajouté sur ce plan: «Les responsables de la chose publique n’ont pas assumé leurs responsabilités et n’ont pas pris en considération les épreuves endurées par la population » (…).
Et de poursuivre: «En 2019, la population a voulu se débarrasser de ces gens-là qui ont échoué à assumer leurs responsabilités. Comment en est-on arrivé à une vacance au niveau de la présidence de la République? Comment les institutions se sont-elles effondrées? Comment la faim a-t-elle été crescendo? Nous le disons en toute franchise, soit un président de la République est élu, soit le chaos qui pointe à l’horizon s’installera».
Sur un tout autre plan, le mufti s’est élevé contre le projet de division du conseil municipal de Beyrouth.
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