Ils étaient environ 1500 mercredi matin à manifester place Riad el-Solh. Tous dénonçaient la détérioration de leur niveau de vie, en raison de la dévaluation continue de la livre libanaise face au dollar.
En première ligne, les forces de sécurité qui n’ont pas hésité à faire usage de gaz lacrymogène pour repousser les contestataires, dont certains ont tenté de pénétrer dans l’enceinte du Grand Sérail. Un nouvel appel à manifester lundi en marge du Conseil des ministres a été lancé.
Lire aussi
Commentaires