Marcher ou courir la nuit seule dans les rues – pour la plupart non éclairées – de Beyrouth, est-il devenu dangereux? La question peut se poser depuis notamment l’agression dont a été victime une Britannique de 38 ans, pendant qu’elle faisait du jogging mardi à 21h, sur le front de mer de Beyrouth, près du Kidzmondo.
La dame a été victime d’une tentative de viol et ce sont probablement ses hurlements qui l’ont sauvée. A force de se débattre et de crier, son agresseur a fini par la lâcher. Alertés par les hurlements, des individus qui se trouvaient dans le secteur ont appelé la police, qui a dépêché une patrouille sur les lieux. En état de choc et les vêtements déchirés, la joggeuse a été hospitalisée. Elle est sortie des soins jeudi.
Le comité administratif de l’association "Beirut Marathon" a condamné jeudi "l’agression lâche" ayant visé l’athlète, au terme d’une réunion qu’il a tenue et qui était consacrée à cette affaire. "Beirut Marathon" a réclamé la condamnation la plus ferme de l’agresseur qui est toujours recherché par la police.
L’association a également demandé aux autorités compétentes, notamment le ministère de l’Intérieur, le mohafazat de Beyrouth, la direction générale des Forces de sécurité intérieure, ainsi que le groupe Solidaire, "d’assumer leurs responsabilités et de prendre les mesures qu’il faut pour garantir un environnement sûr et préserver la sécurité personnelle" de chaque individu, notamment les sportifs qui sont nombreux à pratiquer la marche, la course ou la bicyclette dans le secteur.
L’association a par ailleurs appelé à éclairer les rues de la zone allant de l’avenue Salmane ben Abdelaziz à Aïn Mreissé et que la police municipale effectue des patrouilles. Elle a en outre réclamé l’installation de caméras de surveillance.
"Beirut Marathon" a également invité ses coureurs et entraîneurs à rester attentifs lors de leur entraînement et à éviter de courir seuls la nuit.
De nombreux internautes, notamment les riverains de la zone de l’agression, ont fait part de leur inquiétude quant aux dangers liés aux déplacements nocturnes dans les rues de Beyrouth, invitant notamment les femmes à ne pas marcher ou courir seules la nuit dans les rues de la capitale.
La dame a été victime d’une tentative de viol et ce sont probablement ses hurlements qui l’ont sauvée. A force de se débattre et de crier, son agresseur a fini par la lâcher. Alertés par les hurlements, des individus qui se trouvaient dans le secteur ont appelé la police, qui a dépêché une patrouille sur les lieux. En état de choc et les vêtements déchirés, la joggeuse a été hospitalisée. Elle est sortie des soins jeudi.
Le comité administratif de l’association "Beirut Marathon" a condamné jeudi "l’agression lâche" ayant visé l’athlète, au terme d’une réunion qu’il a tenue et qui était consacrée à cette affaire. "Beirut Marathon" a réclamé la condamnation la plus ferme de l’agresseur qui est toujours recherché par la police.
L’association a également demandé aux autorités compétentes, notamment le ministère de l’Intérieur, le mohafazat de Beyrouth, la direction générale des Forces de sécurité intérieure, ainsi que le groupe Solidaire, "d’assumer leurs responsabilités et de prendre les mesures qu’il faut pour garantir un environnement sûr et préserver la sécurité personnelle" de chaque individu, notamment les sportifs qui sont nombreux à pratiquer la marche, la course ou la bicyclette dans le secteur.
L’association a par ailleurs appelé à éclairer les rues de la zone allant de l’avenue Salmane ben Abdelaziz à Aïn Mreissé et que la police municipale effectue des patrouilles. Elle a en outre réclamé l’installation de caméras de surveillance.
"Beirut Marathon" a également invité ses coureurs et entraîneurs à rester attentifs lors de leur entraînement et à éviter de courir seuls la nuit.
De nombreux internautes, notamment les riverains de la zone de l’agression, ont fait part de leur inquiétude quant aux dangers liés aux déplacements nocturnes dans les rues de Beyrouth, invitant notamment les femmes à ne pas marcher ou courir seules la nuit dans les rues de la capitale.
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