Le ministre sortant des Télécommunications, Johnny el-Corm, a salué la décision du conseil exécutif du syndicat des employés d’Ogero de suspendre la grève, jusqu’à la tenue d'une réunion du Conseil des ministres, les invitant à participer à une séance de consultations lundi.
"Cette décision reflète la rationalité et la responsabilité des employés d’Ogero, puisque le secteur des télécommunications repose principalement sur le fournisseur public de téléphonie et d’Internet", peut-on lire dans un communiqué publié samedi par le bureau de presse du ministère des Télécoms.
M. Corm a également réitéré son engagement "à respecter les revendications des employés d’Ogero et à rester à leurs côtés", insistant sur "le rôle essentiel du Conseil des ministres pour le réajustement des salaires". Le ministre a donc appelé le gouvernement à se réunir au plus tôt "pour approuver les revendications des fonctionnaires, afin d'éviter le chaos".
Il convient de rappeler que les employés d’Ogero étaient en grève ouverte depuis vendredi 24 mars, après une grève partielle d’avertissement. Ils réclament depuis huit jours une revalorisation de leurs salaires et prestations ainsi qu’une indexation de ceux-ci sur le taux de change du dollar du marché parallèle.
"Cette décision reflète la rationalité et la responsabilité des employés d’Ogero, puisque le secteur des télécommunications repose principalement sur le fournisseur public de téléphonie et d’Internet", peut-on lire dans un communiqué publié samedi par le bureau de presse du ministère des Télécoms.
M. Corm a également réitéré son engagement "à respecter les revendications des employés d’Ogero et à rester à leurs côtés", insistant sur "le rôle essentiel du Conseil des ministres pour le réajustement des salaires". Le ministre a donc appelé le gouvernement à se réunir au plus tôt "pour approuver les revendications des fonctionnaires, afin d'éviter le chaos".
Il convient de rappeler que les employés d’Ogero étaient en grève ouverte depuis vendredi 24 mars, après une grève partielle d’avertissement. Ils réclament depuis huit jours une revalorisation de leurs salaires et prestations ainsi qu’une indexation de ceux-ci sur le taux de change du dollar du marché parallèle.
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