©L'attaquant argentin de Manchester City Julian Alvarez (au centre) après son égalisation contre Liverpool en championnat d'Angleterre samedi à Manchester. Paul Ellis/AFP
Malgré l'absence d'Erling Haaland et l'ouverture du score de Mohamed Salah, Manchester City a été trop fort pour Liverpool (4-1), samedi en ouverture de la 29e journée de Premier League, et recolle un peu au leader Arsenal.
Avec 64 points, le tenant du titre revient à cinq longueurs des Gunners.
Liverpool reste quant à lui à la 6e place, à sept points des places qualificatives pour la Ligue des champions.
Ce match entre les deux principaux candidats au titre ces dernières années aura confirmé l'écart qui existe entre les deux formations cette année, City ayant été en contrôle pratiquement tout le match en faisant valoir sa supériorité collective.
"De la 1ère à la 93e minute, cela a été une prestation parfaite (...) c'était l'une des meilleures performances des sept dernières années", soit depuis l'arrivée de Pep Guardiola, s'est réjoui le Catalan au micro de BT Sport.
"Il n'y a rien de positif à dire sur ce match", a reconnu, à l'inverse, Jürgen Klopp.
"C'est un match que l'on doit utiliser, malheureusement, pour montrer ce qui ne doit pas arriver. On ne peut pas ne pas être au duel dans les zones-clés et être aussi ouvert", a-t-il ajouté.
En l'absence du Norvégien aux 42 buts en 37 matches, toutes compétitions confondues, le champion du monde argentin Julian Alvarez, buteur pour l'égalisation et impliqué sur deux autres réalisations, a fait mieux qu'assurer l'intérim.
Dans un match très engagé, pour ne pas dire heurté, surtout en première période, le seul moment de flottement est venu après l'ouverture du score des Reds contre le cours du jeu.
Une belle combinaison de Liverpool avait permis de lancer Diogo Jota dans le dos de la défense et Mohamed Salah, arrivant lancé, avait marqué d'une jolie frappe sans contrôle du gauche (0-1, 17e).
Mais City a vite repris ses esprits et sur une très belle offensive partie de Kevin De Bruyne pour Riyad Mahrez, passée par Ilkay Gündogan qui a décalé Jack Grealish, le centre à ras de terre de ce dernier a été repris par Alvarez aux six mètres (1-1, 27e).
L'Argentin a ensuite été à l'origine du deuxième but en trouvant Mahrez en profondeur sur son aile droite et le centre millimétré de l'Algérien a été poussé dans le but par De Bruyne, malgré la tentative désespérée d'interception d'Alisson (2-1, 46e).
Un peu plus tard, après un nouvel enchaînement de passes digne d'une démonstration sur tableau noir, une frappe contrée d'Alvarez est revenue dans les pieds de Gündogan qui a fait le break avec sang-froid (3-1, 53e).
Le 4e but de Grealish, après une sorte de long une-deux avec De Bruyne, a encore été un modèle d'habileté technique et d'intelligence dans les déplacements (4-1, 74e), qui montre que la trêve internationale n'a rien fait perdre de sa dynamique à City.
Pour Liverpool, qui se déplacera à Chelsea en milieu de semaine avant d'accueillir Arsenal le week-end prochain, le rêve européen ne tient en revanche plus qu'à un fil.
Avec 64 points, le tenant du titre revient à cinq longueurs des Gunners.
Liverpool reste quant à lui à la 6e place, à sept points des places qualificatives pour la Ligue des champions.
Ce match entre les deux principaux candidats au titre ces dernières années aura confirmé l'écart qui existe entre les deux formations cette année, City ayant été en contrôle pratiquement tout le match en faisant valoir sa supériorité collective.
"De la 1ère à la 93e minute, cela a été une prestation parfaite (...) c'était l'une des meilleures performances des sept dernières années", soit depuis l'arrivée de Pep Guardiola, s'est réjoui le Catalan au micro de BT Sport.
"Il n'y a rien de positif à dire sur ce match", a reconnu, à l'inverse, Jürgen Klopp.
"C'est un match que l'on doit utiliser, malheureusement, pour montrer ce qui ne doit pas arriver. On ne peut pas ne pas être au duel dans les zones-clés et être aussi ouvert", a-t-il ajouté.
En l'absence du Norvégien aux 42 buts en 37 matches, toutes compétitions confondues, le champion du monde argentin Julian Alvarez, buteur pour l'égalisation et impliqué sur deux autres réalisations, a fait mieux qu'assurer l'intérim.
Dans un match très engagé, pour ne pas dire heurté, surtout en première période, le seul moment de flottement est venu après l'ouverture du score des Reds contre le cours du jeu.
Une belle combinaison de Liverpool avait permis de lancer Diogo Jota dans le dos de la défense et Mohamed Salah, arrivant lancé, avait marqué d'une jolie frappe sans contrôle du gauche (0-1, 17e).
Mais City a vite repris ses esprits et sur une très belle offensive partie de Kevin De Bruyne pour Riyad Mahrez, passée par Ilkay Gündogan qui a décalé Jack Grealish, le centre à ras de terre de ce dernier a été repris par Alvarez aux six mètres (1-1, 27e).
L'Argentin a ensuite été à l'origine du deuxième but en trouvant Mahrez en profondeur sur son aile droite et le centre millimétré de l'Algérien a été poussé dans le but par De Bruyne, malgré la tentative désespérée d'interception d'Alisson (2-1, 46e).
Un peu plus tard, après un nouvel enchaînement de passes digne d'une démonstration sur tableau noir, une frappe contrée d'Alvarez est revenue dans les pieds de Gündogan qui a fait le break avec sang-froid (3-1, 53e).
Le 4e but de Grealish, après une sorte de long une-deux avec De Bruyne, a encore été un modèle d'habileté technique et d'intelligence dans les déplacements (4-1, 74e), qui montre que la trêve internationale n'a rien fait perdre de sa dynamique à City.
Pour Liverpool, qui se déplacera à Chelsea en milieu de semaine avant d'accueillir Arsenal le week-end prochain, le rêve européen ne tient en revanche plus qu'à un fil.
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