La Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) serait sur le point de lancer une grève ouverte, si le gouvernement rejette les revendications des salariés.
A l’issue d’une réunion qui s'est tenue lundi entre le directeur général de la Caisse nationale de Sécurité sociale Mohammad Karaki, et une délégation du syndicat des employés de l’organisme conduite par Hassan Houmani, le syndicat a menacé d'entamer une grève ouverte au cas où le gouvernement ne souscrirait pas aux revendications des salariés.
Le syndicaliste a révélé qu’il existait une grande différence dans les retraits des traitements des différentes institutions publiques. En effet, il affirme que certains fonctionnaires retirent leurs salaires au taux de 90.000 livres libanaises pour un dollar de la plateforme Sayrafa, alors que d’autres le retirent à 60.000 LL et d’autres encore à 45.000 LL.
M. Karaki a estimé qu'il est illogique que la CNSS, qui opère dans les conditions les plus difficiles et n'a pas fermé ses portes depuis le début de la crise, ne soit pas traitée comme les autres institutions, bien que ces dernières ne travaillent, au plus, qu'un jour par semaine.
Le directeur a appelé les ministères des Finances et du Travail, ainsi que le Premier ministre, à intervenir immédiatement pour résoudre ce problème dans les meilleurs délais afin d'éviter une grève ouverte qui pourrait menacer la sécurité et la stabilité sociale au Liban.
A l’issue d’une réunion qui s'est tenue lundi entre le directeur général de la Caisse nationale de Sécurité sociale Mohammad Karaki, et une délégation du syndicat des employés de l’organisme conduite par Hassan Houmani, le syndicat a menacé d'entamer une grève ouverte au cas où le gouvernement ne souscrirait pas aux revendications des salariés.
Le syndicaliste a révélé qu’il existait une grande différence dans les retraits des traitements des différentes institutions publiques. En effet, il affirme que certains fonctionnaires retirent leurs salaires au taux de 90.000 livres libanaises pour un dollar de la plateforme Sayrafa, alors que d’autres le retirent à 60.000 LL et d’autres encore à 45.000 LL.
M. Karaki a estimé qu'il est illogique que la CNSS, qui opère dans les conditions les plus difficiles et n'a pas fermé ses portes depuis le début de la crise, ne soit pas traitée comme les autres institutions, bien que ces dernières ne travaillent, au plus, qu'un jour par semaine.
Le directeur a appelé les ministères des Finances et du Travail, ainsi que le Premier ministre, à intervenir immédiatement pour résoudre ce problème dans les meilleurs délais afin d'éviter une grève ouverte qui pourrait menacer la sécurité et la stabilité sociale au Liban.
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