Le sous-secrétaire du Trésor américain, Brian Nelson, a affirmé que "l’imposition des sanctions à l’encontre des deux hommes d’affaires libanais, Teddy Rahmé et Raymond Rahmé ne porte aucun message politique".
Lors d’un briefing organisé sur Zoom mercredi en soirée, le responsable américain a insisté sur le fait que le Trésor cherche à poursuivre l’élite corrompue en imposant des sanctions. Nous prendrons les mesures nécessaires si la corruption à sévir au Liban. "Washington est préoccupée par les effets dévastateurs de la corruption sur le peuple libanais", a-t-il indiqué.
"Les sanctions que nous avons imposées hier ne seront ni les premières ni les dernières, car nous sommes déterminés à combattre les particuliers et les compagnies qui exploitent leur richesse, leur pouvoir et leur influence au détriment des Libanais", a précisé M. Nelson.
Interrogé sur le timing de cette décision, M. Nelson a assuré que les sanctions imposées Teddy et Raymond Rahmé (qui étaient à une certaine période, proches du chef des Marada, Sleiman Frangié, candidat officiellement soutenu par le tandem Amal-Hezbollah à la présidence) n’avaient aucun lien avec l’échéance présidentielle libanaise et ne portait aucune connotation politique. "Le Trésor a fait part de sa décision dès qu’il a obtenu les informations et les preuves nécessaires pour inculper les frères Rahmé qui se livraient à des pratiques de corruption, contribuant à l’affaiblissement de l’État de droit au Liban", a-t-il conclu.
D’après le communiqué publié par le Bureau de contrôle des avoirs étrangers du département du Trésor américain (OFAC) mardi, les deux hommes d’affaires ont eu recours "à des sociétés placées sous leur contrôle, au Liban et à l’étranger, pour remporter de nombreux contrats gouvernementaux grâce à un processus d’appel d’offres public très opaque". Ils auraient également été impliqués dans l’importation du fuel oil frelaté qui avait été importé pour les centrales électriques qui s’est avéré non-conforme aux normes requises.
Lors d’un briefing organisé sur Zoom mercredi en soirée, le responsable américain a insisté sur le fait que le Trésor cherche à poursuivre l’élite corrompue en imposant des sanctions. Nous prendrons les mesures nécessaires si la corruption à sévir au Liban. "Washington est préoccupée par les effets dévastateurs de la corruption sur le peuple libanais", a-t-il indiqué.
"Les sanctions que nous avons imposées hier ne seront ni les premières ni les dernières, car nous sommes déterminés à combattre les particuliers et les compagnies qui exploitent leur richesse, leur pouvoir et leur influence au détriment des Libanais", a précisé M. Nelson.
Interrogé sur le timing de cette décision, M. Nelson a assuré que les sanctions imposées Teddy et Raymond Rahmé (qui étaient à une certaine période, proches du chef des Marada, Sleiman Frangié, candidat officiellement soutenu par le tandem Amal-Hezbollah à la présidence) n’avaient aucun lien avec l’échéance présidentielle libanaise et ne portait aucune connotation politique. "Le Trésor a fait part de sa décision dès qu’il a obtenu les informations et les preuves nécessaires pour inculper les frères Rahmé qui se livraient à des pratiques de corruption, contribuant à l’affaiblissement de l’État de droit au Liban", a-t-il conclu.
D’après le communiqué publié par le Bureau de contrôle des avoirs étrangers du département du Trésor américain (OFAC) mardi, les deux hommes d’affaires ont eu recours "à des sociétés placées sous leur contrôle, au Liban et à l’étranger, pour remporter de nombreux contrats gouvernementaux grâce à un processus d’appel d’offres public très opaque". Ils auraient également été impliqués dans l’importation du fuel oil frelaté qui avait été importé pour les centrales électriques qui s’est avéré non-conforme aux normes requises.
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