Le ministre sortant de l'Economie et du Commerce, Amine Salam, a tenu, jeudi, une conférence de presse, au cours de laquelle il a fait le point sur la tarification en dollars dans les supermarchés un mois après sa mise en place et a évoqué le début de la première phase du prêt de la Banque mondiale pour le blé.
Pour ce qui est de la tarification en dollars dans les supermarchés, le ministre a estimé qu’elle a été positive aussi bien pour les consommateurs que pour les propriétaires de supermarchés. “Les prix ne bondissent plus, bien au contraire, ils diminuent”, a-t-il assuré. Et d'ajouter: "Tous les rapports ont montré une baisse d'au moins 5 à 10 % des prix des produits. Le prix des légumes a chuté d’1 %, celui de la viande d'environ 5 %, celui des œufs et des produits laitiers de 6 %, des céréales, graines et fruits à coque de 22 %,, des conserves de 7 % et les autres aliments ont accusé une baisse d'environ 7 à 8 %.La seule hausse enregistrée est au niveau des fruits dont le prix a augmenté de 3,6 %, du fait du mois de Ramadan durant lequel la consommation est plus importante".
Le ministre a reconnu que la baisse n'est pas significative, mais qu’elle existe quand même alors qu’avant l'adoption de ce mécanisme, les prix étaient en perpétuelle augmentation.
Concernant le prêt de la Banque mondiale, M. Salam a affirmé qu’il a permis de stabiliser le prix du paquet de pain, qui est aujourd'hui la denrée la moins chère du pays. Il a réitéré que les quantités de blé sont suffisantes sur le marché pour une période d’un an, voire plus alors qu’elles étaient prévues pour neuf mois.
Les chiffres montrent une baisse de la consommation à 23.000 tonnes. Celle-ci est dûe au contrôle des quantités sur le marché et à la lutte contre la contrebande. “Étant donné que nous avons pu contrôler le marché noir pour ce qui est de la farine et du blé, nous allons pouvoir profiter du prêt de la Banque mondiale pendant plus d'un an”, a affirmé le ministre.
Pour ce qui est de la tarification en dollars dans les supermarchés, le ministre a estimé qu’elle a été positive aussi bien pour les consommateurs que pour les propriétaires de supermarchés. “Les prix ne bondissent plus, bien au contraire, ils diminuent”, a-t-il assuré. Et d'ajouter: "Tous les rapports ont montré une baisse d'au moins 5 à 10 % des prix des produits. Le prix des légumes a chuté d’1 %, celui de la viande d'environ 5 %, celui des œufs et des produits laitiers de 6 %, des céréales, graines et fruits à coque de 22 %,, des conserves de 7 % et les autres aliments ont accusé une baisse d'environ 7 à 8 %.La seule hausse enregistrée est au niveau des fruits dont le prix a augmenté de 3,6 %, du fait du mois de Ramadan durant lequel la consommation est plus importante".
Le ministre a reconnu que la baisse n'est pas significative, mais qu’elle existe quand même alors qu’avant l'adoption de ce mécanisme, les prix étaient en perpétuelle augmentation.
Concernant le prêt de la Banque mondiale, M. Salam a affirmé qu’il a permis de stabiliser le prix du paquet de pain, qui est aujourd'hui la denrée la moins chère du pays. Il a réitéré que les quantités de blé sont suffisantes sur le marché pour une période d’un an, voire plus alors qu’elles étaient prévues pour neuf mois.
Les chiffres montrent une baisse de la consommation à 23.000 tonnes. Celle-ci est dûe au contrôle des quantités sur le marché et à la lutte contre la contrebande. “Étant donné que nous avons pu contrôler le marché noir pour ce qui est de la farine et du blé, nous allons pouvoir profiter du prêt de la Banque mondiale pendant plus d'un an”, a affirmé le ministre.
Lire aussi
Commentaires