Neemat Frem, député du Kesrouan, a annoncé jeudi soir être candidat à la présidence de la République. Lors d’une interview accordée à la chaîne al-Mashhad, M. Frem a souligné que son parcours dans le monde des affaires et de la politique ne suffit pas à lui seul pour qu’il accède à la première magistrature, puisque, selon lui, «un président de la République doit également avoir l’aval des forces politiques sur le terrain».
À la question de savoir si, en tant que futur président, il serait disposé à discuter avec le secrétaire général du Hezbollah et à ne pas «poignarder le parti dans le dos» (en référence à un discours de Hassan Nasrallah sur les qualités d’un président), M. Frem a répondu par l’affirmatif, insistant toutefois sur la nécessité de définir le mot «poignarder». «La résistance fait partie intégrante du Liban, mais la sécurité nationale libanaise reste notre priorité», a affirmé M. Frem.
À la question de savoir si, en tant que futur président, il serait disposé à discuter avec le secrétaire général du Hezbollah et à ne pas «poignarder le parti dans le dos» (en référence à un discours de Hassan Nasrallah sur les qualités d’un président), M. Frem a répondu par l’affirmatif, insistant toutefois sur la nécessité de définir le mot «poignarder». «La résistance fait partie intégrante du Liban, mais la sécurité nationale libanaise reste notre priorité», a affirmé M. Frem.
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