A peine commencée, la nouvelle année pourrait être fatale à Chelsea ou à Liverpool dans la course au titre, alors que les deux équipes s'affrontent dimanche à Stamford Bridge, à l'occasion de la 21e journée de Premier League.
Les deux formations sont dans l'obligation de l'emporter pour garder le contact avec Manchester City, qui caracole en tête avec huit points d'avance sur Chelsea, et neuf sur Liverpool, les Reds ayant un match en retard à jouer.
Chez les Blues, le climat est tendu, particulièrement après les déclarations de l'attaquant belge Romelu Lukaku qui a confié jeudi à Sky Sport Italia qu'il (n'était) « pas heureux » de sa situation à Chelsea. Il invoque les choix de son entraîneur Thomas Tuchel et le « système diférent » mis en place depuis son retour de blessure.
L'entraîneur allemand a indiqué dans la foulée qu'il allait discuter avec son joueur « à huis clos ». Les joueurs de Tuchel, champions d'Europe en titre, n'ont plus le droit à l'erreur, d'autant que leur prochain déplacement en championnat, le 15 janvier, se fera justement à l'Etihad Stadium contre City, leader du classement.
Un peu moins convaincant en décembre, et rejoint dans les dernières secondes cette semaine contre Brighton (1-1), Chelsea garde plutôt un bon souvenir du match aller face aux Reds (1-1, le 28 août), quand le point du match nul avait été obtenu à Anfield Road malgré une seconde période entièrement disputée en infériorité numérique.
Les Reds en panne
De leur côté, malgré des prestations correctes, les Reds n'ont pris qu'un point sur six lors de leurs deux dernières rencontres à Tottenham (2-2, le 19 décembre) et Leicester (1-0, le 28 décembre). Des faux pas qui ne pardonnent pas, face à un rival comme Manchester City, aussi irrésistible que la saison dernière.
La période des fêtes ne réussit décidément pas aux Reds. Il y a un an, alors qu'ils semblaient presque aussi intouchables, notamment après une victoire 7-0 à Crystal Palace, les joueurs de Jürgen Klopp avaient fait deux contre-performances contre West Bromwich (1-1) et Newcastle (0-0), avant de perdre leurs espoirs de titre en début d'année à Southampton (2-3). Huit jours avaient sufi pour lâcher définitivement la première place.
A moins d'une forte réaction à Stamford Bridge, c'est encore dans le ventre mou de la saison que tout risque de se jouer. De quoi comprendre les complaintes de leur entraîneur au sujet du calendrier démentiel pendant les fêtes en Angleterre, a fortiori en pleine pandémie.
Manchester City ira de son côté à Arsenal en toute confiance samedi (13h30), malgré la quatrième place des Gunners. La formation de Pep Guardiola s'était aisément imposée au match aller (5-0) et a remporté les cinq matches de championnat joués contre les Gunners depuis l'arrivée sur le banc de Mikel Arteta, ancien adjoint de Guardiola. Arteta ne sera pas présent en raison d'un test positif au Covid-19.
Le défenseur latéral de City, Joao Cancelo, est incertain après avoir été victime d'un violent cambriolage, jeudi soir, au cours duquel il a été frappé au visage.
Les deux formations sont dans l'obligation de l'emporter pour garder le contact avec Manchester City, qui caracole en tête avec huit points d'avance sur Chelsea, et neuf sur Liverpool, les Reds ayant un match en retard à jouer.
Chez les Blues, le climat est tendu, particulièrement après les déclarations de l'attaquant belge Romelu Lukaku qui a confié jeudi à Sky Sport Italia qu'il (n'était) « pas heureux » de sa situation à Chelsea. Il invoque les choix de son entraîneur Thomas Tuchel et le « système diférent » mis en place depuis son retour de blessure.
L'entraîneur allemand a indiqué dans la foulée qu'il allait discuter avec son joueur « à huis clos ». Les joueurs de Tuchel, champions d'Europe en titre, n'ont plus le droit à l'erreur, d'autant que leur prochain déplacement en championnat, le 15 janvier, se fera justement à l'Etihad Stadium contre City, leader du classement.
Un peu moins convaincant en décembre, et rejoint dans les dernières secondes cette semaine contre Brighton (1-1), Chelsea garde plutôt un bon souvenir du match aller face aux Reds (1-1, le 28 août), quand le point du match nul avait été obtenu à Anfield Road malgré une seconde période entièrement disputée en infériorité numérique.
Les Reds en panne
De leur côté, malgré des prestations correctes, les Reds n'ont pris qu'un point sur six lors de leurs deux dernières rencontres à Tottenham (2-2, le 19 décembre) et Leicester (1-0, le 28 décembre). Des faux pas qui ne pardonnent pas, face à un rival comme Manchester City, aussi irrésistible que la saison dernière.
La période des fêtes ne réussit décidément pas aux Reds. Il y a un an, alors qu'ils semblaient presque aussi intouchables, notamment après une victoire 7-0 à Crystal Palace, les joueurs de Jürgen Klopp avaient fait deux contre-performances contre West Bromwich (1-1) et Newcastle (0-0), avant de perdre leurs espoirs de titre en début d'année à Southampton (2-3). Huit jours avaient sufi pour lâcher définitivement la première place.
A moins d'une forte réaction à Stamford Bridge, c'est encore dans le ventre mou de la saison que tout risque de se jouer. De quoi comprendre les complaintes de leur entraîneur au sujet du calendrier démentiel pendant les fêtes en Angleterre, a fortiori en pleine pandémie.
Manchester City ira de son côté à Arsenal en toute confiance samedi (13h30), malgré la quatrième place des Gunners. La formation de Pep Guardiola s'était aisément imposée au match aller (5-0) et a remporté les cinq matches de championnat joués contre les Gunners depuis l'arrivée sur le banc de Mikel Arteta, ancien adjoint de Guardiola. Arteta ne sera pas présent en raison d'un test positif au Covid-19.
Le défenseur latéral de City, Joao Cancelo, est incertain après avoir été victime d'un violent cambriolage, jeudi soir, au cours duquel il a été frappé au visage.
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