Le président du FC Barcelone Joan Laporta a affirmé dimanche que la justice n'avait "rien" contre le Barça dans le scandale d'arbitrage qui secoue l'Espagne depuis deux mois.
"Ils n'ont rien, parce qu'il n'y a rien", a soutenu le dirigeant catalan dimanche lors d'une assemblée de clubs de supporters du Barça. Laporta doit donner lundi une conférence de presse lors de laquelle il a assuré qu'il allait "donner toutes les explications" sur le rôle du FC Barcelone dans cette affaire.
Il a déclaré dimanche qu'elle avait été "grossie" et que la personne que le Barça aurait payée, José Maria Enriquez Negreira, ancien arbitre et ex vice-président du comité technique arbitral de la fédération espagnole entre 1994 et 2018, "n'avait aucune capacité à altérer les résultats d'un match, puisque ce n'était pas lui qui désignait les arbitres."
"Il y a d'autres clubs, en particulier celui qui s'est porté partie civile dans ce procès, qui ont été historiquement favorisés", a ajouté Laporta, faisant allusion au Real Madrid. Ce scandale a été révélé par les médias espagnol début février. Le 10 mars, la justice espagnole a inculpé le FC Barcelone et certains de ses anciens dirigeants pour "corruption", "abus de confiance" et "faux en écritures de commerce". D'après le parquet, le club catalan a versé au total plus de 7,3 millions d'euros à José Maria Enriquez Negreira en échange de conseils sur des questions arbitrales.
AFP
"Ils n'ont rien, parce qu'il n'y a rien", a soutenu le dirigeant catalan dimanche lors d'une assemblée de clubs de supporters du Barça. Laporta doit donner lundi une conférence de presse lors de laquelle il a assuré qu'il allait "donner toutes les explications" sur le rôle du FC Barcelone dans cette affaire.
Il a déclaré dimanche qu'elle avait été "grossie" et que la personne que le Barça aurait payée, José Maria Enriquez Negreira, ancien arbitre et ex vice-président du comité technique arbitral de la fédération espagnole entre 1994 et 2018, "n'avait aucune capacité à altérer les résultats d'un match, puisque ce n'était pas lui qui désignait les arbitres."
"Il y a d'autres clubs, en particulier celui qui s'est porté partie civile dans ce procès, qui ont été historiquement favorisés", a ajouté Laporta, faisant allusion au Real Madrid. Ce scandale a été révélé par les médias espagnol début février. Le 10 mars, la justice espagnole a inculpé le FC Barcelone et certains de ses anciens dirigeants pour "corruption", "abus de confiance" et "faux en écritures de commerce". D'après le parquet, le club catalan a versé au total plus de 7,3 millions d'euros à José Maria Enriquez Negreira en échange de conseils sur des questions arbitrales.
AFP
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