Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, le cheikh Naïm Kassem, a affirmé dimanche que «le candidat à la présidence de la République (le chef des Marada) Sleiman Frangié bénéficie d’un apport de voix substantiel, alors que les forces qui se qualifient d’opposition n’ont pas réussi jusqu’à présent à s’entendre sur un candidat».
«Le Liban est face à deux candidats, l’un est sérieux et l’autre représente le vide, a écrit le cheikh Kassem sur son compte Twitter. Les données sur la scène locale et les développements régionaux ne présagent pas un changement de la donne. Nous devons trancher en choisissant le candidat susceptible d’être élu à la tête de l’État, en menant un dialogue, en levant les obstacles pour sauver le pays et en évitant de perdre le temps inutilement pour aboutir, en définitive, au même résultat.»
En réponse au cheikh Kassem, Fadi Karam, membre du groupe parlementaire des Forces libanaises, a souligné que celui-ci «reste attaché à son équation, en l’occurrence: le Liban devrait être soit otage de ses notions, soit il serait vidé de sa population». «Dans les deux cas, cela signifie la destruction du pays, a-t-il écrit sur son compte Twitter. Nous sommes attachés à notre équation, soit le pays reste otage de l’axe auquel appartient le cheikh Naïm Kassem (c’est-à-dire l’Iran, NDLR), soit on le libère de cet axe pour le ramener à sa situation normale.» Et M. Karam de conclure: «Il a son pays et ses convictions, nous avons notre Liban et nos convictions.»
«Le Liban est face à deux candidats, l’un est sérieux et l’autre représente le vide, a écrit le cheikh Kassem sur son compte Twitter. Les données sur la scène locale et les développements régionaux ne présagent pas un changement de la donne. Nous devons trancher en choisissant le candidat susceptible d’être élu à la tête de l’État, en menant un dialogue, en levant les obstacles pour sauver le pays et en évitant de perdre le temps inutilement pour aboutir, en définitive, au même résultat.»
En réponse au cheikh Kassem, Fadi Karam, membre du groupe parlementaire des Forces libanaises, a souligné que celui-ci «reste attaché à son équation, en l’occurrence: le Liban devrait être soit otage de ses notions, soit il serait vidé de sa population». «Dans les deux cas, cela signifie la destruction du pays, a-t-il écrit sur son compte Twitter. Nous sommes attachés à notre équation, soit le pays reste otage de l’axe auquel appartient le cheikh Naïm Kassem (c’est-à-dire l’Iran, NDLR), soit on le libère de cet axe pour le ramener à sa situation normale.» Et M. Karam de conclure: «Il a son pays et ses convictions, nous avons notre Liban et nos convictions.»
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