Dans un entretien téléphonique de "presque une heure", le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est entretenu avec son homologue chinois Xi Jinping. Ce dernier a assuré que "la Chine a toujours été du côté de la paix" dans la guerre en Ukraine.
Le président chinois Xi Jinping a assuré à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky que "la Chine a toujours été du côté de la paix" et appelé à "la négociation", lors de leur premier entretien téléphonique depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, a indiqué mercredi la télévision d'État CCTV.
"Sur le sujet de la crise ukrainienne, la Chine a toujours été du côté de la paix et sa position fondamentale est de promouvoir un dialogue de paix", selon la chaîne.
"Le dialogue et la négociation" sont la "seule issue" au conflit avec la Russie, a encore assuré le dirigeant, selon CCTV.
De son côté, le président ukrainien a déclaré avoir eu un "long et significatif" entretien avec son homologue chinois, dans un tweet confirmé par la présidence ukrainienne à l'AFP.
Il a aussi dit espérer "une impulsion puissante du développement des relations bilatérales" entre Kiev et Pékin.
La conversation entre les deux chefs d'État a duré "presque une heure", a précisé à l'AFP le porte-parole de M. Zelensky, Serguiï Nykyforov.
Il s'agit du premier échange connu entre les deux hommes depuis le début de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022. Leur dernier appel remontait à juillet 2021.
Le président brésilien Lula, dont les récentes déclarations sur le conflit en Ukraine ont suscité la controverse, a jugé mercredi à Madrid qu'il ne "servait à rien de dire qui a raison" entre Kiev et Moscou, la priorité étant de négocier la paix.
"Personne ne peut mettre en doute le fait que les Brésiliens condamnent la violation territoriale de l'Ukraine par la Russie. Cette erreur a eu lieu, la guerre a démarré", a déclaré Luiz Inácio Lula da Silva, en visite officielle en Espagne depuis mardi.
Mais "il ne sert désormais à rien de dire qui a raison, qui s'est trompé. Désormais, ce qu'il faut faire, c'est mettre fin à cette guerre", a insisté le président brésilien, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre espagnol Pedro Sánchez.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Le président chinois Xi Jinping a assuré à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky que "la Chine a toujours été du côté de la paix" et appelé à "la négociation", lors de leur premier entretien téléphonique depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, a indiqué mercredi la télévision d'État CCTV.
"Sur le sujet de la crise ukrainienne, la Chine a toujours été du côté de la paix et sa position fondamentale est de promouvoir un dialogue de paix", selon la chaîne.
"Le dialogue et la négociation" sont la "seule issue" au conflit avec la Russie, a encore assuré le dirigeant, selon CCTV.
De son côté, le président ukrainien a déclaré avoir eu un "long et significatif" entretien avec son homologue chinois, dans un tweet confirmé par la présidence ukrainienne à l'AFP.
Il a aussi dit espérer "une impulsion puissante du développement des relations bilatérales" entre Kiev et Pékin.
La conversation entre les deux chefs d'État a duré "presque une heure", a précisé à l'AFP le porte-parole de M. Zelensky, Serguiï Nykyforov.
Il s'agit du premier échange connu entre les deux hommes depuis le début de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022. Leur dernier appel remontait à juillet 2021.
Le président brésilien Lula, dont les récentes déclarations sur le conflit en Ukraine ont suscité la controverse, a jugé mercredi à Madrid qu'il ne "servait à rien de dire qui a raison" entre Kiev et Moscou, la priorité étant de négocier la paix.
"Personne ne peut mettre en doute le fait que les Brésiliens condamnent la violation territoriale de l'Ukraine par la Russie. Cette erreur a eu lieu, la guerre a démarré", a déclaré Luiz Inácio Lula da Silva, en visite officielle en Espagne depuis mardi.
Mais "il ne sert désormais à rien de dire qui a raison, qui s'est trompé. Désormais, ce qu'il faut faire, c'est mettre fin à cette guerre", a insisté le président brésilien, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre espagnol Pedro Sánchez.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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