Le syndicat des propriétaires des hôpitaux a déclaré que la loi d’augmentation du salaire minimum et des frais de transport aura un impact dangereux sur les hôpitaux.
Dans un communiqué publié ce jeudi, le syndicat a annoncé que les augmentations successives et aléatoires ne peuvent pas résoudre le problème parce que l’augmentation du prix des équipements et des services va dépasser la hausse des salaires comme cela se passe à chaque fois. «Ceci nous entraîne dans un cycle infernal qui amenuise les capacités de survie des établissements», peut-on lire dans le communiqué.
«Les hôpitaux ne peuvent gérer cette augmentation parce que les parties garantes ne peuvent augmenter leurs primes, de même que les patients sont incapables de supporter les frais», selon le syndicat. Et de poursuivre: «Tous les protagonistes savent que c’est une tactique pour calmer les employés.»
Enfin, le syndicat a affirmé s’attendre à plus de problèmes entre les administrations des hôpitaux et leurs employés ainsi qu’à des démissions, la seule conclusion étant le vacillement du secteur hospitalier.
Le Conseil des ministres avait approuvé, le 18 avril, l’augmentation des salaires des fonctionnaires du service public en donnant parallèlement son aval à un accroissement du salaire minimum dans les entreprises privées.
Dans un communiqué publié ce jeudi, le syndicat a annoncé que les augmentations successives et aléatoires ne peuvent pas résoudre le problème parce que l’augmentation du prix des équipements et des services va dépasser la hausse des salaires comme cela se passe à chaque fois. «Ceci nous entraîne dans un cycle infernal qui amenuise les capacités de survie des établissements», peut-on lire dans le communiqué.
«Les hôpitaux ne peuvent gérer cette augmentation parce que les parties garantes ne peuvent augmenter leurs primes, de même que les patients sont incapables de supporter les frais», selon le syndicat. Et de poursuivre: «Tous les protagonistes savent que c’est une tactique pour calmer les employés.»
Enfin, le syndicat a affirmé s’attendre à plus de problèmes entre les administrations des hôpitaux et leurs employés ainsi qu’à des démissions, la seule conclusion étant le vacillement du secteur hospitalier.
Le Conseil des ministres avait approuvé, le 18 avril, l’augmentation des salaires des fonctionnaires du service public en donnant parallèlement son aval à un accroissement du salaire minimum dans les entreprises privées.
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