Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, s’est entretenu vendredi matin au Grand Sérail, en présence du ministre sortant du Travail, Moustafa Bayram, avec une délégation du syndicat des employés de l'administration publique conduite par Nawal Nasr. Le président de la Confédération générale des travailleurs libanais (CGTL), Béchara Asmar, et la présidente du Conseil de la fonction publique, Nisrine Machmouchi, étaient également présents.
À l’issue de la réunion, M. Bayram a affirmé que toutes les questions liées au secteur public avaient été discutées explicitement, de même que toutes les idées présentées par le syndicat des employés, compte tenu des besoins minimaux des fonctionnaires en cette période difficile. Le ministre a assuré que M.Mikati s’est montré ouvert à toutes les idées et prêt à discuter de toutes les questions de manière transparente et claire. Les propositions étaient fondées sur des faits et des études estimant l'enveloppe financière que peut pourvoir l'État. Le syndicat, en collaboration avec de nombreux intervenants, a été chargé de présenter une étude qui tienne compte de ce qui a été convenu. Sur la base de ces résultats et des plafonds que l'État devrait respecter, le Premier ministre s'est engagé à revaloriser les traitements de manière équitable. C’est également une tentative de relancer la roue de l'administration publique, indicateur de la santé et de la survie de l'État. Ces solutions devraient être étudiées par le gouvernement. Dès qu’elles seront prêtes, elles seront émises dans le cadre d'un nouveau décret à publier par le Conseil des ministres.
À l’issue de la réunion, M. Bayram a affirmé que toutes les questions liées au secteur public avaient été discutées explicitement, de même que toutes les idées présentées par le syndicat des employés, compte tenu des besoins minimaux des fonctionnaires en cette période difficile. Le ministre a assuré que M.Mikati s’est montré ouvert à toutes les idées et prêt à discuter de toutes les questions de manière transparente et claire. Les propositions étaient fondées sur des faits et des études estimant l'enveloppe financière que peut pourvoir l'État. Le syndicat, en collaboration avec de nombreux intervenants, a été chargé de présenter une étude qui tienne compte de ce qui a été convenu. Sur la base de ces résultats et des plafonds que l'État devrait respecter, le Premier ministre s'est engagé à revaloriser les traitements de manière équitable. C’est également une tentative de relancer la roue de l'administration publique, indicateur de la santé et de la survie de l'État. Ces solutions devraient être étudiées par le gouvernement. Dès qu’elles seront prêtes, elles seront émises dans le cadre d'un nouveau décret à publier par le Conseil des ministres.
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